Jeudi, 11 août 2022
Catégories : [ Bricolage ]
La quête du repose-bras idéal
passe par le confort, et donc par la quête de la mousse idéale. J'ai d'abord
essayé de la mousse pour l'isolation phonique, très dense, mais malgré sa
faible épaisseur d'1 cm, elle s'enfonce à peine sous la pression du bras, et
surtout elle surélève mes poignets au point où ils ne reposent plus
suffisamment sur les repose-poignets du clavier. J'ai alors essayé de la
mousse « ordinaire » de la même épaisseur, utilisée dans l'ameublement, et
j'ai découpé un espace pour que l'avant bras ne soit pas soutenu ; le fond est
recouvert d'une mousse d'emballage fine, récupérée dans un colis que j'ai
reçu. J'ai ensuite collé la mousse à la colle chaude, exception faite de la
partie qui recouvre les vis, pour pouvoir remonter le bazar une fois que c'est
terminé.
Le coté droit est plus complexe, j'y ai ajouté un repose-poignet pour le
trackball en empilant deux épaisseurs de mousse d'isolation phonique. Ce
repose-poignet n'est pas collé, encore une fois pour avoir accès aux deux vis
cachées dessous.
J'ai ensuite recouvert la mousse de tissus noir que j'avais acheté il y a
longtemps pour fabriquer un sac pour des dés de Super Mario Dice.
Les cotés rectilignes étaient faciles à gérer, mais le coté concave a demandé
un peu d'efforts de couture : tout comme on ne peut pas recouvrir parfaitement
une orange (sphérique) d'un feuille de papier (plane), on ne peut pas non plus
recouvrir le repose-bras de tissus non-extensible (et le tissus extensible,
c'est galère à utiliser, donc je n'ose même pas y penser).
Le dessous est nettement plus simple: le tissus est agrafé (merci à Aku qui
m'a prêté l'outil idoine).
Le coté droit est plus compliqué à cause du repose-poignet qui ajoute un
deuxième bord concave et une épaisseur supplémentaire. J'ai fini par
comprendre (à force d'essayer de poser le tissus à plat sur toutes les parties
où placer la deuxième couture. L'angle entre le repose-poignet et le bord
supérieur par contre est très moche, j'ai dû y faire une découpe que j'ai
recouverte d'un morceau de tissus collé à la colle chaude (c'est trop petit
pour que j'arrive à y coudre une pièce). Enfin, le tissus est collé sous le
repose-poignet, c'est très moche aussi mais personne n'ira regarder.
Le résultat final.
Modification du 2022-08-18: j'ai collé deux morceaux de silicone (découpés
dans un tapis de pâtisserie en silicone qui était abimé de coups de couteau)
sous les parties du repose-bras qui prennent appui sur la surface du bureau,
pour éviter qu'il ne glisse. Coller du silicone, c'est pas facile, la colle
néoprène tient très bien sur le bois mais pas du tout sur le silicone. Le
joint silicone en tube en revanche fait l'affaire (même si on pourrait le
décoller en tirant fort dessus).
[ Posté le 11 août 2022 à 09:54 |
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Vendredi, 5 août 2022
Catégories : [ Bricolage ]
Pour rendre mon poste de travail plus confortable, je voulais y ajouter un
repose-bras. Comme tous ceux que j'ai vus en ligne étaient trop étroits et
mordaient sur le bord du bureau là où je veux mettre le trackball, j'ai décidé
d'en construire un moi-même. How hard can it be? comme y disent (oui je sais
le bord du repose-bras du commerce pourrait être utilisable pour remplacer
celui du trackball, mais j'avais pas envie d'essayer pour me rendre compte que
finalement, bah non, c'est pas top).
Celui que j'ai construit est composé de deux parties en contreplaqué de 12 mm
(qui coûte justement un bras en ce moment, 36 ¤/m2, il doit être
plaqué or à l'intérieur) fixées à un tasseau de 28 mm par six vis
auto-taraudeuses 3x30 (à tête Torx, le Torx c'est bien, mangez-en. Je ne vois
pas pourquoi on utiliserait encore du Pozidriv de nos jours ; d'ailleurs à
Stark, on ne trouve plus que du Torx).
Le repose-bras est fixé au bord du bureau par un ingénieux système de crochets
en acier, ce qui permet de l'enlever et le remettre rapidement. Je les ai
trouvés sur ergostar.fi quand je regardais les modèles de repose-bras. Je ne
suis pas sûr comment je l'aurais fixé si je n'avais pas trouvé ces crochets.
Ces derniers sont ensuite vissés sur les bords du repose-bras (sous les
parties que mordent justement sur le bureau) grâce à des écrous à frapper M5
(dont j'ai découvert l'existence en me promenant sur motonet.fi pour justement
regarder comment je pourrais fixer le bazar en question) qui s'adaptent
pile-poil aux vis M5 fournies avec les crochets.
Prochaine étape : trouver de la mousse pas trop épaisse pour rembourrer le
dessus et la couvrir avec du tissus.
[ Posté le 5 août 2022 à 15:14 |
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Repose-bras (partie 2)
Commentaire N° 1, Blog & White
le 11 août 2022 à 09:55
Dimanche, 14 novembre 2021
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino | TV/Leffakone ]
Several months ago, the leffakone infrared receiver started to misbehave.
There were a lot of errors in syslog about spikes in the signal, and the
problem seemed to come from the serial port on the motherboard rather than
from the homebrew IR receiver,
connected to the serial port, that I had built in 2002 or 2003 and that I had
been using with lirc ever since. One of the symptoms was that unloading the
lirc-serial kernel module caused the computer to freeze, while testing the
receiver with an oscilloscope seemed to show that it was working correctly.
For many months, I was too lazy to do something about it, as using a keyboard
with a long enough cord was enough to control leffakone. During the last
autumn vacation, I tried to test the receiver with the serial port on
minikone, but the latter seems to deliver only 1.2V signals, when the receiver
expects at least 7V to power its onboard voltage regulator. So that was not
very conclusive.
At the same time, I had the idea of building a CO2
monitor
using a Jeenode I had lying around, and somehow I wondered if the IR receiver
module would not just fit into one of the Jeenode's ports. Guess what? It
fits perfectly, allowing to use the IRQ pin as the input, which is exactly
what the Arduino-IRremote
library suggests to use. Writing the software
was a bit of a headache, because the library assumes that the compiler would
run with the -flto
option (and the compilation ends with an error if it is
not set), but my custom Makefile somehow fails to compile the code correctly
if I enable that option. Thankfully, you can get around the problem with
#define SUPPRESS_ERROR_MESSAGE_FOR_BEGIN
. After that, the program is quite
straightforward: configure it for the RC5 protocol (as this is what my remote
control produces), read a code and write it to the serial port if it matches
the RC5 address. I also added a new feature: if the code is the power on
button, it would set a pin to HIGH for a short while, allowing to switch the
computer on. I used the Jeenode USB
as it has an on-board USB-to-serial adatpter, which makes it perfect to
connect to a modern computer. I had one reed relay left from the
timer
and despite being rated for a 5V control voltage, it works with the Jeenode's
3.3V signal. The Jeenode is connected to the computer with a USB cable where I
have replaced the USB Type A connector with a Molex connector so that I can
use one of USB headers on the motherboard. Crimping the very small contacts
was difficult as I don't have a crimping tool, but the connections seem to be
working despite having done quite a poor job of it.
Yesterday, I installed the extra reed relay and the Jeenode onto the PCB that
holds the relays of the timer, and now it's inside leffakone and working well.
And since I forgot to take a picture, there is no image of what it looks like.
In addition, I'm quite happy I have been able to do this project by using only
bits and pieces I already had (the Jeenode, the headers, the reed relay, the
IR receiver module, the USB cable, the Molex contacts and housing).
[ Posté le 14 novembre 2021 à 11:56 |
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Mardi, 2 novembre 2021
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
The last issue of Make: magazine had an article about building a
CO2 monitor. The concentration of CO2 is apparently a
good estimator for the concentration of
SARS-CoV-2 in the
air, which is correlated to the risk of transmission. The article suggests
keeping the concentration of CO2 under 800 ppm when people are
wearing masks.
The Make: article proposes a green-yellow-red light indicator, where the light
is green when the concentration is below 1000 ppm, yellow above that level and
red when it goes above 2000 ppm. These values are rather about indoors air
quality and not directly related to limiting the transmission of SARS-CoV-2.
An article from NIST however indicates that the 1000 ppm limit has no basis
whatsoever
so I decided to use the 800 ppm limit instead and a rather arbitrary limit of
1300 ppm based on looking at Figure 2 in this
article which seems to
indicate that some cognitive abilities drop around that concentration.
Description
The device itself is quite simple: it has an on/off switch and a single
two-color LED indicator, red and green. The yellow color is obtained by
turning on both green and red colors at the same time. It also has a small
hole where a paperclip can be inserted for triggering the calibration
procedure. The holes next to the power switch expose the CO2 sensor
and its temperature/humidity sensor.
Inside the box there is an Arduino-like
Jeenode I had lying around
with an AA Power
board (I have no
idea if these are still sold, I've had them around for over ten years). The
AA Power board is meant for a single AA battery, but it cannot provide enough
current, so I removed the battery clips and connected it to a 2-AA battery
holder, via the switch. It seems to be working well with two NiMH
rechargeable batteries.
The CO2 sensor is a Sensirion
SCD30. It is quite expensive (about 50
EUR), but has an easy to use I2C interface and is the most accurate of the
sensors presented in the Make: article. The software is quite trivial (if you
except the calibration procedure, see below), and available
here. The device
automatically makes a measurement ever two seconds, the program reads it and
updates the LED accordingly. That's it.
Calibration
There is an automatic calibration procedure that requires to keep the sensor
powered for at least 7 days and put it in fresh (outdoors) air at least an
hour per day. This is not very practical given that I've estimated that the
batteries would last about 25 hours (20 mA for the ATmega, 17 mA for the
SCD30, 10 mA for the LED at 3.3 V, with maybe a 80% efficiency for the power
board with two 1900 mAh batteries at 2.4 V). There is however also the
possibility to expose the sensor to air with a known CO2
concentration and tell it the actual value it is measuring. It then uses this
value as a reference point for subsequent measurements. The device is
apparently sensitive to changes in shape (e.g. when subjected to mechanical
stress during transport) so as a portable device it probably needs to be
regularly re-calibrated.
The calibration procedure is simple: place the device outdoors, wait about 2
minutes for it to settle, then introduce a paperclip into the hole and press
the button underneath it; the LED will be flashing red. The device will take
repeated measurements every 2 seconds, and when a succession of 10 measurements
is considered stable enough (i.e. the absolute value of the difference
between the first and last of those is at most 1, and the sum of the absolute
values of each measurement with its previous one is at most 10), it sets the
calibration value to 416 ppm (which seems to be about the average value in
2021). As the device is accurate to +/- 30 ppm, the exact value does not
matter so much. The device then returns to its normal operation mode, showing
a green, yellow or red light.
What next?
Put a sticker on it with some indications about the LED colors and the reset
button hole.
[ Posté le 2 novembre 2021 à 23:22 |
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Commentaire N° 1, Matthieu Weber (Finlande)
le 5 novembre 2021 à 23:45
New Leffakon Infrared Receiver
Commentaire N° 2, Blog & White
le 14 novembre 2021 à 12:01
Jeudi, 21 novembre 2019
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
For quite a while I have been dreaming about a lamp for reading in bed that
would be equally usable when lying on my belly or sitting with my back on the
wall. It would be wide enough to uniformly light an open comic book (slightly
larger than an A3 paper sheet) without causing a glare on the paper, meaning
that it should light from above. Finally it must be made of a strip of warm
white LED, its brightness must be adjustable and must consume no power when
it's off.
And because making things is fun, I wanted to make it myself. There it is.
It's made of 60 cm of LED strip glued on the inside of a 15×15 mm
aluminium profile, and it's powered by a 12 V, 500 mA power supply, via a
dimmer (that has also silly features like strobe effect, blinking and
pulsating, but that's no good for reading). The power supply is connected to
the mains via a wire equipped with a switch (that effectively cuts the power
to the power supply when it's off).
To meet the requirement of reading in two different positions, the angle of
the aluminium profile can be changed by rocking it. I had to solder thinner
wires to the LED strip to prevent it from acting like a spring and holding the
lamp back when rocking it.
[ Posté le 21 novembre 2019 à 17:42 |
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Mercredi, 23 décembre 2015
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
Cet appareil n'a pas de nom, mais il sert à controller un appareil photo et un
flash pour prendre des photos d'objets qui tombent. Un rayon laser (récupéré
d'un pointeur laser rouge bas de gamme) dont la présence est détectée par un
phototrasistor sensible à la lumière visible est interrompu par l'objet qui
tombe, et après un temps déterminé, le flash est déclenché.
Le code est disponible.
L'appareil utilise un RBBB (compatible Arduino, mais dans un format plus
compact) pour contrôler un écran LCD alphanumérique, l'appareil photo via sa
télécommande par câble, et le flash via son sabot. Il permet aussi de règler le
délai entre la détection de la chute de l'objet et la prise de la photo. On
peut en outre règler la longueur de l'impulsion du flash (ce qui n'est pas
très utile apparemment, étant donné que cette durée n'a pas l'air d'avoir
d'influence sur la durée du flash, mais cette durée détermine aussi le délai
entre le déclenchement du flash et la fermeture de l'obturateur de l'appareil
photo). En outre, on peut choisir à quel moment l'obturateur sera ouvert
(avant de faire tomber l'objet à photographier, au moment où celui-ci coupe le
faisceau laser, ou le mode manuel où l'utilisateur a la responsabilité
d'ouvrir l'obturateur), et l'envoi ou non d'une impulsion pour effectuer la
mise au point (la télécommande filaire est conçue de sorte à ce que le signal
de mise au point soit toujours envoyé avant le signal d'ouverture de
l'obturateur, il se peut que l'appareil ne fonctionne pas correctement si le
second n'est pas précédé du premier).
Le RBBB est alimenté par 4 batteries rechargeables NiMH, qui fournissent
ensemble une tension maximale de 5,4 V, juste en dessous de la limite maximum
du microcontrolleur (5,5 V). Ceci permet de se passer d'un régulteur de
tension, à condition de ne pas utiliser de piles alcalines (qui produiraient
une tension trop élevée, 6,6 V au maximum).
Une des difficultés a été que le laser tend à chauffer, ce qui diminue environ
de moitié sa luminosité au bout de 30 s. À ce moment, le laser n'est alors
plus assez puissant pour être détecté par le phototransitor. La seule
solution est de ne pas laisser au laser le temps de chauffer.
Une autre difficulté a été la construction du cadre en bois qui porte le laser
et le phototransistor : il n'est pas parfaitement plan (je voulais le rendre
démontable et j'ai donc utilisé des angles en acier à visser, mais comme je
n'ai pas réussi à visser les vis bien verticalement, elles ont déplacé
légèrement les angles et tordu les quatre morceaux de bois). De plus, il n'est
pas facile de percer un trou bien droit (pour recevoir le laser) et aligné
avec un trou similaire (pour recevoir le phototransitor) sur le coté opposé du
cadre.
Pour aligner le laser sur le phototransistor, il faut donc tourner un
peu le premier dans son logement jusqu'à ce que le point rouge atteigne le
centre du phototransistor. L'appareil dispose d'ailleurs d'un mode de
fonctionnement où le laser est allumé en permanence et où l'utilisateur peut
voir si le phototransistor est correctement éclairé.
La dernière difficulté a été de me rendre compte que le temps de chute de
l'objet (entre le moment où le laser est interrompu et le moment où la photo
doit être prise) dépend de la vitesse de l'objet au moment où il passe dans le
faisceau laser, donc de la hauteur (au dessus du faisceau) d'où l'objet a été
laché. Pour obtenir des expériences répétables, il faut donc faire tomber
l'objet à partir du support sur lequel il repose, et il faut donc que ce
support soit à une distance connue du faisceau. Le support est donc un
morceau de carton ondulé percé d'un trou assez grand pour laisser passer
l'objet (mais pas trop grand pour que l'objet ne puisse pas tomber à coté du
faiscea) posé sur le cadre en bois. La distance d entre le haut du carton et
le faisceau, la hauteur de chute h du haut du carton jusq'à l'endroit où la
photo est prise et le temps de chute t sont liés par l'équation suivante :
t = √(2/g) × (√h - √d) où g est l'accélération de la
pesanteur.
[ Posté le 23 décembre 2015 à 23:45 |
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Dimanche, 4 mai 2014
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino | TV/Leffakone ]
I finally built the timer for the new Leffakone. It is based on an Arduino
Uno, which controls two reed relays and one LED. The reed relays can be
activated with a very low current (10 mA), meaning that the Arduino can drive
them directly from any I/O pin. The relays' contacts are connected in parallel
to the power button and the reset button. The Arduino's serial-over-USB port
is connected to one of the USB headers of the motherboard with a home-made
cable, and the timer is set by software through this serial connection. All
the wires coming from the computer case's front panel are connected to the
circuit (to the 8-pin header protruding from the protoboard), and wires go
from there to the motherboard's front-panel header (2 white wires for the
power button, 2 grey wires for the reset button, and 2 blue+black wires for
the power-on LED. The two boards are screwed on the bottom plate of the case
of an old CD drive; for installation, I closed the case and put it into the
computer as a regular CD drive.
While the timer is counting down, it blinks the computer case's HDD LED (which
therefore is not anymore indicating the HDD activity).
When the timer expires, it closes the power button's relay for 500 ms. An
optional watchdog timer would close the reset button's relay if the machine
does not boot correctly i.e., if the timer is not reset within 30 s. This
watchdog timer is currently disabled in the code, since the problems I have
had with GRUB freezing on startup seem to be related to manually powering the
device and switching the TV on shortly after. I'll enable it if it seems
necessary. Here
is the code for the Arduino.
The software client
for the timer is written in Python and is very
straightforward: send ASCII digits to the serial port, ending with a newline
character. It interprets this number as a number of seconds, and starts
counting down. When disconnecting the client from the serial port, the Arduino
resets and forgets all about the timer value; I found out that setting the DTR
line to False in the Python Serial object prevents this from happeining. I
haven't however found out how to prevent a reset when connecting to the
Arduino; this is less a problem, since when I connect to it, I want to reset
the timer, and reseting the whole program does just that. It seems that it's
the Linux driver that asserts the DTR line when opening the serial port; I
haven't investigated further. It is worth noting that when the machine boots,
it does not reset the Arduino.
Finally, the cristal in the Arduino is accurate to 99.5% which is not enough
to guarantee that the timer will wake up the computer within a minute after a
countdown of several days. I therefore apply a corrective factor to the time
sent to the Arduino. The factor was estimated from a 15.5 hour countdown,
which lasted about 90s more than it should have. Over a 7-days countdown, it
would cause the timer to expire about 16 minutes too late.
[ Posté le 4 mai 2014 à 20:38 |
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New Leffakone Infrared Receiver
Commentaire N° 1, Blog & White
le 14 novembre 2021 à 12:01
Mardi, 19 février 2013
Catégories : [ Bricolage ]
Quand on bascule l'interrupteur, un doigt sort de la boite et le rebascule
dans l'autre sens. Strictement inutile, et donc parfaitement indispensable.
Vue de l'extérieur, c'est une boite en bois blanc, sans fioriture, à part
l'interrupteur sur le couvercle.
Quand on pousse l'interrupteur, voici ce qui se passe:
La vidéo de la boite en action est
également disponible.
Sous le capot, un moteur équipé d'une boite de vitesse 1:228, alimenté par 4
batteries rechargeables. Lorsqu'on bascule l'interrupteur, le « doigt »
se lève, bascule l'interrupteur dans l'autre sens, ce qui renverse la la
polarité et fait tourner le moteur dans le sens inverse. Le « doigt »
revient alors à sa position initiale et finit sa course sur un deuxième
interrupteur, qui coupe le courant. Le moteur s'arrête.
Mécaniquement et électriquement, il n'y a rien de compliqué, à part le fait de
positionner les pièces au bon endroit.
Pour finir, une vidéo de la machine en action couvercle
levé.
On remarque que le « doigt » sursaute en arrivant sur l'interrupteur, au
moment où le courant se coupe, et revient s'y poser une deuxième fois plus
doucement, et reste en place.
[ Posté le 19 février 2013 à 21:51 |
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Jeudi, 22 mars 2012
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
Finnish winters are cold, and petrol engines don't like starting when it's
very cold. That's why cars are often equipped with an electric heater that
preheat's the cooling liquid for some time before starting the engine. The
duration of this pre-heating depends on the temperature
(in French). Moreover, since I don't leave home every morning at the same
time, I don't want to start heating the car at the same time every day, even
if the outside temperature doesn't change much from day to day. Hence this
project of a remote-controlled switch for the car heater.
The system is composed of two Arduino-compatible parts: one master, connected
to the home computer (always on), and one slave, in the garage. The master is
a JeeLink and the slave is based on a
JeeNode. Master and slave communicate
with each other with a radio (868 MHz, a free
Low-power_communication_device band in Europe).
The master
Not much to say about the master, the hardware is a standard JeeLink, which
for the purpose of this project is really only a radio transceiver on a
Serial-over-USB interface.
The slave
The electronic is very simple, and only a few components are needed. I paid
special attention to selecting components that are specified to work from
-40 °C (although I have no idea how well the device works at that
temperature).
The slave is organised around a JeeNode (vertical, in the right-hand corner of
the picture), and has the following three features.
It controls a relay (the black box above the orange PCB on the picture), which can be open or closed.
It measures the outside temperature with a DS18S20 sensor.
It measures the current flowing out of the relay using a current
transformer (the black ring aroung the brown wire on the left side of the
picture).
Moreover, it has a power supply (the black box on the lower left corner of the
picture).
You can also notice that the mains cable (a 5 m, outdoors prolongation cord)
has an earth wire that has not been severed. The live (brown) and neutral
(blue) wires have been cut and connected to the relay. Power for the power
supply is taken from the plug-side of the cable, before the relay (so it's
always connected to the mains).
Power supply
The power comes from a compact switching power supply that converts 230 V AC
into 12 V DC (maximum output power: 4 W). In case the power supply fails, the
1 A fuse (in the holder on the big red wire on the lower-left corner of the
picture) should blow before the whole thing catches on fire. Also, although
the power supply is designed to be placed on a PCB, I decided not to have any
230 VAC on the PCB, so I soldered the wires straight to its input pins, and
isolated them with heat-shrink tube and added epoxy for strenght (the pins are
not so strong, I don't want to break them once they are connected to the thick
and not-so-flexible wires).
The relay requires 12 V, hence the output value for the power supply. The
JeeNode requires a 3.3 V supply, and the onboard voltage regulator could take
the 12 V, but would ouput only a low current (less than 100 mA). By adding
a 5 V regulator (7805) to supply the JeeNode, the latter can get more current
from its on-board regulator.
Relay
The relay (specified to switch up to 400 VAC and 30 A) requires 160 mA to be
activated. It is therefore controlled via a BC337 transistor, which is strong
enough to withstand the current. The base of the transistor is connected to
one digital pin of the JeeNode via a 2 kΩ resistor, which allows to open
or close the relay by applying a High or Low signal to that pin.
Temperature sensor
The DS18S20 transmits the temperture information digitally over a 1-Wire bus,
and therefore requires really nothing more than a 4.7 kΩ pull-up resistor.
It works quite happily with 3.3 V at the end of a 15 m cable (an old phone
extension cord). Note that since I have three wires in the cable, I didn't
even try to power the sensor with parasitic power (anyway, I read somewhere
that it doesn't work well at 3.3 V). The Arduino OneWire
library does all the work
for you, all you need is to connect the data pin of the sensor to one digital
input of the JeeNode.
Current sensor
Finally, the current transformer is placed around the live wire coming out of
the relay. The design is based on a page at
OpenEnergyMonitor that does not appear to
exist anymore, but this one
should give a good start.
Basically, the current transformer produces a current (not a voltage) that is
proportional (depending on the number of turns, my transformer has 1012 turns)
to the current flowing through the mains wire that goes through the
transformer. A burden resistor (68 Ω in my case) across the two wires
produces an AC voltage that is proportional to this current and varies between
-1.65 and +1.65 V (corresponding to mains current between -23 and +23 A
peak-to-peak). Then one wire of the transformer is connected to a voltage
divider made of two 20 kΩ resistors (with a filtering 47 μF
capacitor) and the other wire goes to one of the analog inputs of the JeeNode.
This way, the analog input sees a voltage that varies between 0 and 3.3 V,
which is within the tolerance of the device.
After that, the software samples the analog value 3000 times, applies a
high-pass filter to remove the DC offset, and simple math computes the RMS
current. After a bit of calibration (using a 60 W lamp, and 500 W halogen
lamp, a 1400 W flat iron and a 2300 W electric kettle, and comparing my
measurments against those of a wattmeter), I noticed that the reported current
is quite accurate (to about 0.01 A, which is more than enough for my
purposes).
Box
The PCB and the relay a screwed on a piece of plexiglas, and the whole device
is placed in a project box to protect it from dust. Zip ties around the cables
near the holes prevent the cables from being accidentally pulled out of the box.
Schematics
The schematics are available as a PNG picture, and in Eagle
format.
Note that since I used strip board to assemble the circuit, I haven't paid
attention to choosing the right component packages, nor the right type of
component. The Eagle schematics is therefore provided for information purposes
only, generating a board from it is not going to produce correct results.
The Software
It's all available
there. You can
obtain it with git using the command
git clone http://weber.fi.eu.org/software/arduino/heater_controller/.git/
[ Posté le 22 mars 2012 à 23:23 |
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Task-Based JeeNode Communication
Commentaire N° 1, Blog & White
le 24 mars 2012 à 16:14
Jeudi, 9 février 2012
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
I don't like to start soldering on a stripboard without having
sketched the positions of the different components beforehand on a paper. While
this is easily done on the back of an envelope, having 1:1 scale sketchpaper
would be handy. So I made such a printable
sketchpaper.
[ Posté le 9 février 2012 à 08:55 |
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Mercredi, 28 décembre 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
The timelapse photography controller I helped a friend build is
finally complete. He built the hardware, I wrote the
software. The latter is
uselessly complicated, but I wanted to have fun with C++ and multiple
inheritance, so here it is. The device is controlled by a rotary encoder
with an integrated push button and a 2x16 character LCD display. It also has a
plug to connect it to the camera (via a 2-channel optocoupler) and is powered
with 4 AA batteries.
The UI is composed of 4 screens:
- a status screen, showing how many pictures have been taken so far, as well as
the voltage of the batteries
- a start/stop screen
- a screen for setting the number of pictures
- a screen for setting the time interval between the pictures.
Turning the knob moves from one screen to the other, while pressing its button
activates the current screen (e.g., starting or stopping, or allowing to
change the value of e.g., the time interval).
The last two screens are disabled when the timer is started, and re-enabled
when it is stopped. Also, the screen is turned off after a 10s timeout, and
switched back on when the button is pressed or the knob is rotated. This
allows to reduce the power consumption from abuot 24 mA to 8 mA. This way, a
set of 2000 mAh rechargeable batteries should last over 200 hours.
[ Posté le 28 décembre 2011 à 20:40 |
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Vendredi, 2 décembre 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
I spent hours with a friend trying to solve the following problem: an LED and
a 430R resistor are connected to the pin of an Arduino (actually an RBBB
powered with 3.3 V). Using digitalWrite(pin, HIGH)
it did light the LED, but
it was very dim. What was more weird, is that the pin was showing only 1 V
instead of 3.3 V. After two hours of scratching our heads, I looked up on
Google and found the answer: “don't forget to call pinMode(pin,
OUTPUT)
…”
At boot time, the pins are set as inputs. digitalWrite(pin, HIGH)
switches
the internal pullup resistor (20K – 50K), which is enough to allows the pin to
source a little bit of current at a quite low voltage. It was enough the dimly
light the LED, but not enough to get the optocoupler (that was initially
connected to the pin) to work properly.
[ Posté le 2 décembre 2011 à 16:38 |
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Lundi, 15 août 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino | Informatique ]
Software random number generators are usually so-called pseudo-random number
generators, because they produce a deterministic sequence of numbers that have
some of the properties of true random numbers. Obtaining genuinly random
numbers howerver requires a non-deterministic processus as the source of
randomness. Thermal noise in electronics or radioactive decay have been used,
usually requiring an external device to be built and plugged to the computer.
Peter Knight's TrueRandom
generates random bits by using the Arduino's ADC (with nothing connected to
the analog input pin) to measure electronic noise. It flips the pin's
internal pull-up resistor while the measure takes place to increase the amount
of noise. The software then keeps only the least significant bit of the
result, filters it using Von Neumann's whitening algorithm (read pairs of bits
until they are of different values and return 0 (respectively 1) on a 01
(respectively 10) transition). There are several functions that generate
different types of numbers based on those random bits.
I reused that code, modified it to allow using another pin than the Arduino's
Analog0 and I made my own random number generator. I also wrote a Python script
that reads the bits from the serial port, uses the SHA-1 hashing algorithm to
distil the data (the raw data has about 6 bit of entropy per byte, distillation
produces data with 7.999 bits of entropy per byte; based on the work of Jeff
Connelly on IMOTP) and writes them to the
standard output or into a file. On my Duemilanove, it can output about 1500
bits/s, while it outputs 1300 bits/s on a JeeLink.
The latter makes it an easy-to-transport device that is reasonnably sturdy and
fits in the pocket, even if its features (it contains a radio transceiver) are
a bit overkill for the job (not to mention expensive).
I also adapted the core of the TrueRandom software to run on my
ButtonBox (which
is conveniently always connected to my desktop computer). There the
output rate is a mere 300 bps, but it's still reasonnably fast for generating
a few random numbers when needed (for example for generating one's own
PasswordCard).
The access to the ButtonBox is shared among multiple clients using
button_box_server.py,
so a modified Python script was used for obtaining the stream of random bits
through the button_box_server
.
I haven't had the patience to generate a few megabytes of random data to test
the generator with the DieHarder
test suite, but the output of Fourmilab's ent
test tool looks reasonnable.
[ Posté le 15 août 2011 à 11:08 |
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A Better PasswordCard?
Commentaire N° 1, Blog & White
le 16 août 2011 à 23:05
Dieharder Test
Commentaire N° 2, Blog & White
le 23 août 2011 à 09:48
Jeudi, 16 juin 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
This is driving me crazy. To the left (click the image for a bigger version),
you can see a basic differential amplifier based on a
LM324AN op amp. If the op
amp is perfect and the resistors are be exactly 10 kΩ, the potential
Vout (on point 3) would be equal to the difference of potential
between V+ and V- (on points 2 and 1, respectively). In
other words, Vout = V+ - V-.
When working with a real op amp, the things are not that simple, but they
should remain quite close to the ideal case. In fact, if we set V4
to GND
, we get reasonnable values. However, if we se V4 to
+5.05V
(which is also the positive supply of the op amp), the values don't
make sense to me anymore.
Here's what I measured (the millivolt values are at least ±0.1 mV, but
the volt values should be reasonnably accurate):
V4 set to | 0 V | +5.05 V |
V- = | 1.3 mV | 2.83 V |
V+ = | 0.1 mV | 2.51 V |
Vout = | 1.9 mV | 0.65 V |
When V4 is set to 0 V, the values of V- and
V+ seem to be consistent with the specs of the chip regarding input
offset current and input bias current (input current of 100 nA accross a
10 kΩ resistor is 1 mV).
When V4 is set to 5.05 V however, I really don't understand what
laws of physics makes the difference between V+ and V- so
large (0.32 V, which just happens to be half of Vout. But that's
maybe just a coincidence). Further experiments have shown that Vout
remains constant at 0.65 V when 2.7 V < V4 < 5.05 V, but decreases
when V4 < 2.7 V.
The goal of the device is to measure the voltage across a 0.05 Ω shunt
which would be placed at point 4, with 5 V applied on its R4 side
and the load (a low-power electric motor) between the shunt's R2 side and the
ground.
Any comment on the subject will be appreciated.
[ Posté le 16 juin 2011 à 09:42 |
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The Infernal Op Amp 2
Commentaire N° 1, Blog & White
le 15 mai 2011 à 18:35
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
This schematics of a current monitor can be found in many datasheets as
examples of applications of an op amp. I wanted to find out the relationships
between RS (the shunt), R1 and R2. Here's how it goes:
- V1 = A·(V+ - V-) (1) (A is the
open-loop gain of the op amp)
- V+ = VSS - V·R1/R2 (2)
(Common emitter transistor setup, see more particularly this
image)
- V- = VSS - RS·iload (3)
- V = V1 - 0.65 (4) (voltage drop between the base and the emitter
of a common transistor)
Combining (2), (3) and (4) into (1), we get
V + 0.65 = A·(VSS - V·R1/R2 - VSS + RS·iload),
from which follows
V·(1 + A·R1/R2) + 0.65 = A·RS·iload.
We assume A is very large, therefore
A·R1/R2 >> 1, so it simplifies into
V·R1/R2 + 0.65/A = RS·iload.
We assume A is very large, and thus 0.65/A << V·R1/R2, leading to
iload = V·R1/(R2·RS).
[ Posté le 16 juin 2011 à 09:40 |
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New Op Amp
Commentaire N° 1, Blog & White
le 24 mai 2011 à 21:52
Mardi, 24 mai 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
I finally got the courage to try out the new op
amp
model (LT1495) I received last week.
I tried out the current monitor
circuit,
and it works. The supply voltage for the op amp was 5 V, and I measured the
current going through a red LED, powered with 15 V (coming from a supposedly
12 V power adapter). The measurement was 33,6 mA instead of the 31 mA given
by the amperemeter. Not very accurate, but I don't actually need high
accuracy.
Next step: trying to re-build the motor speed-controller circuit, get it
stable enough that it doesn't reboot the Arduino all the time, and check how
the current monitor behaves when the current is switching on and off all the
time.
[ Posté le 24 mai 2011 à 21:52 |
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Lundi, 16 mai 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
I hooked the Tyco slot-car controller to the Arduino's analog input with a
400 Ω pullup, and set the A/D converter's reference voltage to INTERNAL
(meaning 1.1 V). The sampling rate is 100 Hz and the output values are
between 0 and 1023. The movements are two successive slow
squeezing-and-releasing of the trigger, followed by three quick
squeeze-and-release.
- In the lower picture (red) are the raw data.
- In the second lower picture (green), the raw data is filtered by a 4th-order,
low-pass Butterworth filter, with a 5 Hz cutoff frequency.
- In the third lower picture (blue), a 32-levels quantization is applied to the
raw data.
- In the top picture (purple), the quantization is applied to the filtered
data.
A value of 1023 (the maximum) indicates that the electrical contact is broken
i.e., that the trigger is in the rest position or its maximum.
I have tried hardware filtering with capacitors (1 nF, 100 nF and 1μF), but
the digital filter gives the best results. I don't doubt that more advanced
hardware filters would have produced similar, if not better results, but they
would have required more components, and if you can afford to do it in
software, why bother with the extra hardware? Software filtering is amazing…
The code for the software filter has been generated on this very useful
website.
Additionally, conductive grease applied to the variable resistor may reduce
quite much the noise (or shortcut the whole coil of wire…)
[ Posté le 16 mai 2011 à 21:56 |
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Dimanche, 15 mai 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
I don't have a proper explanation as for the why, but the op amp
problem
I had recently is solved by using a virtual ground set to 1/2 Vsupply.
My understanding there is that the differential amplifier acts as both an
inverting and non inverting amplifier, and that it needs a negative supply (or
a virtual ground, which amounts to the same thing) for the non-inverting part.
Using a virtual ground as mentioned above has two drawbacks:
- it brings the reference point of Vout to 1/2 Vsupply, which
makes it much less nice to use with the Arduino's analog input (only the
upper-half of the input range is used because of this offset) and
- the maximum allowable range for the signals is between 1/2 Vsupply
and Vsupply-1.5V (for the LM324), which is not much even when
Vsupply is 12 V.
Moreover, the differential amplifier needs well matched resistors: R1||R2 =
R3||R4 (R1||R2 is the equivalent resistance of R1 in
parallel with R2), othwerwise it has an additional DC offset which gets amplified by the
gain of the differential amplifier, making the whole thing useless for my purpose of
amplifying the very small voltage across a shunt.
On the bright side though, I found another op amp, the LT1495, that can accept
inputs beyond Vsupply and with a very low input offset. Its only
drawback is that it costs 25 times more than the LM324 (which was very, very
cheap, but still).
[ Posté le 15 mai 2011 à 20:52 |
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New Op Amp
Commentaire N° 1, Blog & White
le 24 mai 2011 à 21:52
Samedi, 7 mai 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
I just tested the first prototype of the speed controller for the Tyco slot
cars. Currently, the Arduino reads the potentiometer with analogRead()
and
applies PWM (with analogWrite()
) on the base of a BC547 transistor. The
transistor acts as a driver for a FQP70N10 MOSFET which controls the motor.
The MOSFET doesn't seem to heat at all (I selected this model for exactly that
reason) and speed control works (i.e., I can drive the car on a simple ring
circuit, down to quite low speed).
My initial idea was to drive the MOSFET directly with the Arduino, but I
noticed after buying a pair of those that they it's not a logic-level MOSFET.
Driving it with 5 V would theoretically work (I need about 1 A, which is well
within the capabilities of the device), but the internal resistance would be much
higher that the value touted on the datasheet, and thus dissipate more heat
(exact figures for the resistance at 5 V are not available from the
datasheet).
This was a proof of concept, and the concept is therefore proven, I can start
working on measuring, with the Arduino, the current delivered to the motor.
[ Posté le 7 mai 2011 à 22:21 |
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Lundi, 14 mars 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
Here's a mini-workbench for Arduino prototyping, made of 6.5 mm plywood.
The Arduino board stands on whatever-they-are-called threaded thinggies you
use to screw the motherboard into the computer case without it touching the
metal. Arduino screw holes are 3.2 mm in diameter, so I had to drill them to
3.5 mm. It survived the treatment.
The breadboard had an adhesive back, so this one was easy.
The LCD has one potentiometer (top) for contrast and one switch for the LED
backlight (depending on the power source, backlight may consume too much
current, so it can be switched off if needed). The connectors at the end of
the ribbon cable are made from component legs and shrink tube.
The drawback is that now it takes much more space than it used too…
[ Posté le 14 mars 2011 à 22:29 |
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Samedi, 12 février 2011
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
Here's the Button Box. It has three illuminated push-buttons, one knob (which
also acts as a push-button) and one light-dependent resistor (the small
thinggy on the lower-right corner) which are controlled by an RBBB
microcontrller (software-compatible with the Arduino). Here's the
control software.
The push-buttons contain each one bi-color LED (red-green); its color depends
on the direction of the current. Each LED which is controlled using PWM, which
allows to quickly reverse the direction of the current and create the illusion
of a yellow/orange color. Moreover, the Box senses the amount of ambient light
(with the light-dependent resistor) and adjust the intensity of the light
depending on that: by night, the LEDs are on only 1/64th of the time, while in
daylight they are on at 100%, making them more visible.
It connects to the computer through a serial-to-USB adapter. It's a bit ugly
like that, but who cares.
The current through the LEDs is limited by a 150 Ω resistor. The
push-buttons use the microconstroller's internal pull-up resistors. The
light-dependent resistor (rated 4 – 11 kΩ, whatever this exactly means)
forms a voltage divider with a 1 kΩ resistor, and its value is read by
one of the analog inputs of the microcontroller.
The white PCB is the RBBB, which is powered by the USB-BUB (serial-to-USB
adapter, based on an FTDI chip). It's not the cheapest solution, but those
components were the easiest to obtain.
The USB-BUB has its outputs rewired to the row of holes along its side, and is
soldered sideways to the RBBB using a row of pin headers. The RBBB is then
screwed through one ready-made hole to the bottom of the box through an
additional piece of plastic glued (with cyanoacrylate glue) to the bottom.
This gives a thickness of almost 5 mm which is enough to hold the screw (a bit
thicker would have been better). The same is done to the other end of the
RBBB which has a similar hole. This holds the USB-BUB enough for the USB cable
to be inserted and removed.
Side view. ABS project boxed are nice, because they are easy to drill and cut
through with a hacksaw or even with a knife for smaller details.
Inside view with the side walls removed. It's quite tight inside, but it fits
nicely.
[ Posté le 12 février 2011 à 23:04 |
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Commentaire N° 1, Henrik (Jyväskylä, Finlande)
le 14 février 2011 à 10:55
Commentaire N° 2, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 14 février 2011 à 11:03
Hardware Random Number Generator
Commentaire N° 3, Blog & White
le 13 août 2011 à 16:32
Jeudi, 30 décembre 2010
Catégories : [ Bricolage ]
Le compte tours est enfin terminé, équipé d'une nouvelle version
du logiciel afin de corriger des bugs (signal de faux départ lorsque la
voiture démarre pendant la configuration, calcul erroné de la durée du premier
tour) et d'ajouter des fonctionnalités (un appui sur l'un des deux boutons
noirs pendant la course termine le chronométrage et revient à l'écran de
configuration sans perdre la configuration précédente). Le bouton RESET
(rouge) devient inutile, sauf en cas de plantage du logiciel, ce qui n'est pas
encore arrivé.
Voici le portique que j'avais construit l'été dernier.
Il est en place dans le circuit de Noël 2010
et relié au boitier.
Les LEDs infrarouges sont montées sur le portique et éclairent la
piste.
Elles sont montées en série avec une résistance 82 Ω et alimentées sous
5 V, ce qui donne un courant de 12 mA environ.
La lumière des LED infrarouges est détectée par des phototransistors placés
sous la piste. Les rails de guidage du morceau de piste servant à l'origine
de compte-tours sont percés de fentes (le picot de guidage des voitures
faisait avancer à travers cette fente une roue portant des nombres), et la
lumière d'une LED peut donc atteindre le phototransistor correspondant, qui
reste cependant bien protégé de la lumière ambiante.
Chaque phototransistor est relié au +5 V par une résistance pull-up de
1 kΩ. Les entrées de l'Arduino sont connectées aux collecteurs des
phototransistors. Lorsque ces derniers sont éclairés, le signal est bas (0),
et lorsqu'une voiture passe, il est haut (1).
[ Posté le 30 décembre 2010 à 13:58 |
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Circuit auto Noël 2010
Commentaire N° 1, Blog & White
le 30 décembre 2010 à 13:25
Jeudi, 16 décembre 2010
Catégories : [ Bricolage ]
Après plusieurs mois à prendre la poussière, j'ai finalement acheté les
composants nécessaires pour construire une version fonctionnelle du compte
tour pour circuit auto.
Le circuit est le même que celui du prototype,
mais l'Arduino Duemilanueve a été remplacé par un RBBB, plus petit et
nettement moins cher.
L'interface utilisateur se compose d'un écran LCD (4 lignes de 20 caractères)
et trois bouton. Le bouton rouge est relié au reset de l'Arduino. Les bouton
noir du milieu sert à choisir l'item suivant dans le menu, et le bouton du bas
sert à agir sur l'item sélectionné.
À l'arrière du boitier se trouve un connecteur D-sub à 9 plots récupéré sur
une vieille carte mère, où le connecteur du port série était encore relié à la
carte par un cable ruban. 4 plots sont utilisés : +5V, 0V, et les signaux
venant des pistes 1 et 2.
Le circuit blanc est le RBBB, le brun est morceau de carte à prototyper. Il
comporte le potentiomètre pour le contraste de l'écran, et les différentes
résistance (pull-down des boutons noirs, limiteur de courant du buzzer). La
paire de fils rouge/noir devant à gauche vont au buzzer qui est fixé sur la
face avant, derrière un petit trou. Les deux circuits sont fixés par des vis
sur le morceau de boitier que j'ai découpé pour laisser passer l'écran, et ce
moreceau est vissé sur le fond sur un plot prévu à cet effet.
L'écran LCD est connecté en mode 4bits, et comme le rétro-éclairage contient
déjà deux résistance de 10 Ω en parallèle, j'ai pu le brancher
directement sur le +5V.
[ Posté le 16 décembre 2010 à 13:21 |
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Compte tours pour circuit auto, troisième partie
Commentaire N° 1, Blog & White
le 30 décembre 2010 à 13:25
Lundi, 16 août 2010
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
Le prototype de la partie électronique du compte-tours pour circuit
auto
est prêt. Le code source est disponible
là.
La diode IR et le phototransistor sur la droite permettent de simuler le
passage de la voiture sur une piste. Le buzzer juste à coté donne le départ
avec un signal sonore, signale un faux départ avec un autre signal sonore et
la fin de la course avec un troisième. Les deux boutons au milieu permettent
de choisir les options du menu.
Le menu propose trois options, une par ligne. Un des boutons permet de passer
à la ligne suivante (et repart du haut une fois arrivé à la dernière ligne),
l'autre permet d'activer l'option choisie. La première option permet de
choisir le nombre de tours de la course ; la second permet alternativement de
choisir la durée de la course (en minutes) ; la troisième démarre la course.
Durant la course, pour chacune des deux pistes, le nombre de tours parcourus
est affiché, ainsi que le chronomètre du tour en cours, le chronomètre de la
durée totale de la course et, après le premier tour, la durée du tour le plus
court.
Lorsque le nombre de tours est atteint par un des participants, ses
chronomètres sont arrêtés et le signal de fin de la course retentit. Lorsque
l'autre participant parvient au nombre de tours choisi, ses chronomètres sont
arrêtés à leur tour.
Lorsque la durée choisie est écoulée, les deux chronomètres sont arrêtés.
[ Posté le 16 août 2010 à 21:02 |
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Compte-tours pour circuit auto, deuxième partie
Commentaire N° 1, Blog & White
le 12 décembre 2010 à 12:06
Jeudi, 12 août 2010
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
J'ai bricolé hier un script python/GTK qui représente de manière graphique
les données produites par le programme-exemple AnalogInSerial
. Le code
source sans documentation se trouve là.
Le code est dans le domaine public.
L'entrée analogique n'étant reliée à rien, elle produit surtout du bruit, de
fréquence régulière (trop lent pour être les 50 Hz du secteur, mais comme la
fréquence d'échantillonage est de l'ordre de 70 Hz, il se peut que le signal
soit mal échantilloné) et d'amplitude constante.
Ce qui est plus surprenant, c'est que l'amplitude du bruit diminue lorsque
l'Arduino est soulevé de la table.
L'amplitude augmente temporairement lorsqu'on tapote le connecteur (ici le
circuit est posé sur la table).
La valeur moyenne lue augmente lorsqu'on souffle sur le connecteur (le circuit
est en l'air), tandis que l'amplitude des oscillations diminue. Ensuite, la
valeur moyenne diminue très progressivement (sur plusieurs secondes), avant de
retrouver son niveau de départ.
[ Posté le 12 août 2010 à 22:46 |
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Compteur d'eau
Commentaire N° 1, Blog & White
le 27 septembre 2009 à 17:31
et le source ?
Commentaire N° 2, tth (Toulouse, France)
le 12 août 2010 à 11:34
Commentaire N° 3, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 12 août 2010 à 11:52
le source
Commentaire N° 4, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 12 août 2010 à 22:50
Mercredi, 11 août 2010
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
J'ai récupéré l'écran LCD (4 lignes de 20 caractères) de feu
Poppikone et je l'ai branché sur
l'Arduino. Le Hello World livré en exemple avec la bibiothèque LiquidCrystal
fonctionne :)
[ Posté le 11 août 2010 à 23:51 |
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Mardi, 27 juillet 2010
Catégories : [ Bricolage ]
But du projet: construire un compte-tours électronique pour mon vieux circuit
auto Tyco. Le portique est prêt : deux diodes IR éclairent la piste juste au
dessus des voitures. Le compteur mécanique original fonctionnait grâce à un
morceau de piste spécial, dont le rail guide était ouvert sur le dessous pour
permettre à l'ergot des voitures de faire tourner une roue numérotée. J'ai
placé deux phototransistors sous ces fentes : en temps normal, ils reçoivent
le faisceau des diodes IR, mais quand une voiture passe, celui-ci est
interrompu.
L'interface de sortie est simple à souhait : un fil pour chaque voie, dont la
tension passe de 0 à presque 5 V lorsque le faisceau est interrompu. Plus qu'à
espérer que la différence soit assez grande pour faire basculer une entrée
numérique de l'Arduino.
[ Posté le 27 juillet 2010 à 12:14 |
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Compte tours (prototype)
Commentaire N° 1, Blog & White
le 16 août 2010 à 21:02
Compte-tours pour circuit auto, deuxième partie
Commentaire N° 2, Blog & White
le 12 décembre 2010 à 12:06
Compte tours pour circuit auto, troisième partie
Commentaire N° 3, Blog & White
le 30 décembre 2010 à 13:25
Mercredi, 21 juillet 2010
Catégories : [ Bricolage | Jeux ]
Le circuit auto est
alimenté par un transformateur 12 V/6 W. Le problème, c'est que la tension
délivrée baisse lorsqu'on lui demande de débiter davantage de courant, et donc
que lorsque deux voitures roulent ensemble, leur accélérations ne sont
terribles. De plus, lorsqu'une voiture sort de la piste, le transformateur n'a
besoin de débiter que la moitié du courant, la tension augmente brusquement et
la voiture restante accélère soudainement. Si elle est en entrée de virage,
elle sort de la piste aussitôt.
J'ai donc utilisé une alimentation stabilisée à la place du transformateur, et
tous ce problèmes s'envolent (évidemment, les fabricants de jouets ne sont pas
prêts à remplacer un petit transformateur à 5 EUR par une alim à 150 EUR).
J'ai d'abord règlé l'alim sur 12 V, mais les résultats n'étaient pas
terribles. Après quelques essais, j'ai découvert qu'une voiture roulant à fond
(j'en ai mise une sur cales pour les tests) recevait 17 V. J'ai donc réglé
l'alim sur environ 16 volts, et là ça marche drôlement bien.
Une voiture consomme environ 300 mA dans les virages, et peut consommer
brièvement jusqu'à 700 mA quand on accélère à fond. Et quand on utilise deux
voitures en même temps, les deux peuvent accélérer à fond au besoin. Aussi,
fini les sorties de pistes provoquées par la sortie de l'autre voiture. Que du
bonheur.
Prochaine étape, construction d'un compte-tours/chronomètre éléctronique à
base d'Arduino. J'ai déjà les diodes IR et les phototransistors, mais
l'Arduino et l'écran LCD alphanumériques sont restés à la maison.
[ Posté le 21 juillet 2010 à 19:28 |
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Jeudi, 20 mai 2010
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
Some years ago, I designed
and built
a dice tower.
I considered releasing proper drawings, but I didn't have a real incentive to do
it. Recently, I've been asked if I could draw more readable blueprints than
the original paper-and-pen isometric view.
Well, that's done then. The blueprints are now available in
PDF under
a Creative Commons Attribution-ShareAlike 3.0 Unported License.
Only the core of the tower is drawn there, you need to build a shell around
it.
[ Posté le 20 mai 2010 à 22:39 |
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Commentaire N° 1, RICARDO (Mexico)
le 22 mai 2010 à 19:59
Commentaire N° 2, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 25 mai 2010 à 20:53
Commentaire N° 3, Eric (Aurora, United States)
le 12 août 2011 à 11:16
Commentaire N° 4, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 12 août 2011 à 11:56
Commentaire N° 5, Eric (Aurora, United States)
le 13 août 2011 à 03:41
Mardi, 18 mai 2010
Traduction: [ Google ]
Catégories : [ Bricolage ]
Pekan kanssa rakennettiin eilen huoltosilta välikattoon.
Ennen
Aiemmin siellä näytti tältä.
Korkeus on välikaton keskellä 80 cm (kuvassa
oikealla puolella). Kuvassa vasemmalla korkeus on noin 60 cm.
Oikealla on ilmanvaihtoputki, ja takana näkyy viemärin tuuletusputki.
Ilmanvaihtoputken oikea puoli.
Jälkeen
Ja nyt SE silta.
Seinässä olevan luukun ja huoltosillan välinen eturamppi on jyrkkä:
etäisyys luukusta on alle 70 cm ja silta on 40 cm korkeudella.
Silta itse on 6 m pitkä, jotta se ylettyy viemärin tuuletusputkelle.
Ilmanvaihtoputken edessä on pieni tasanne, jotta siihen pääsee käsiksi.
Loppujen lopiksi
Päivitetty 18.5.2010
Selluvillaa puhallettiin tänään välikattoon.
[ Posté le 18 mai 2010 à 19:02 |
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Jeudi, 22 avril 2010
Catégories : [ Bricolage | TV ]
L'antenne d'intérieur active pour la télé fonctionne relativement bien, sauf quand
des conditions indéterminées (en général l'après midi) font que la reception
est vraiment mauvaise et que MPlayer plante lors de l'enregistrement. Après
avoir lu je sais plus où (probablement dans Make), j'ai étudié la possibilité
de construire une meilleure antenne. Je ne suis pas sûr d'y être parvenu, mais
celle que j'ai fini par construire fonctionne plutôt bien. En fait le problème
principal est que le mur situé entre le salon et la chambre à coucher augmente
considérablement le bruit (le rapport signal/bruit donné par la carte DVB est
nettement plus bas lorsque l'antenne est dans le salon que dans la chambre à
coucher, et le taux d'erreur est plus élevé).
Après une première expérience avec un simple dipôle de 22 cm (prendre un câble
d'antenne de 75 ohms, dénuder 11 cm, séparer le blindage de l'âme, torsader le
blindage et le replier d'un coté, replier l'âme de l'autre coté pour obtenir
un T) où j'ai découvert l'effet du mur, j'ai voulu développer une antenne qui
soit adaptée aux fréquences des deux bouquets TNT que je regarde (YLE à
546 MHz et MTV3/Nelonen à 786 MHz).
Les deux fréquences étant éloignées l'une
de l'autre, ce n'est pas une tâche facile. J'ai fini par obtenir un résultat
théorique plutôt bon avec une biquad munie d'un réflecteur plan (voir le
fichier NEC2).
J'ai alors construit la biquad avec une tige d'acier plaquée de cuivre
(destinée à la soudure) de 2 mm de diamètre. Le coté d'un petit carré
mesure 122 mm.
Je l'ai soudée à 10 m de câble d'antenne 75 ohms. Je comptais mettre l'antenne
derrière la porte de la chambre où elle aurait été invisible, mais la
réception était bien meilleure à coté de la fenêtre. J'ai donc dû rajouter une
rallonge de 3 m.
Je me suis rendu compte qu'installer l'antenne dans la chambre à
coucher avec son réflecteur situé 10 cm en arrière n'allait pas être facile
(comprendre : ça va dépasser du mur et ça va être très moche). Mais les
performances pratiques de cette antenne sans son reflecteur sont semble-t-il
suffisamment bonnes (on n'est pas très loin de l'émetteur) : le taux d'erreur
a été divisé par 16, et j'espère que ça évitera à la réception de devenir
tellement mauvaise que MPlayer plante.
Les performances théoriques (meilleur gain net dans la partie haute de la
bande de fréquences que dans la partie basse) contredisent les valeur (qui
valent ce qu'elles valent) renvoyées par la carte DVB (taux d'erreur plus
faible dans la partie basse de la bande). Je suppose qu'il existe une source
de bruit externe plus forte dans la partie haute que dans la partie basse qui
explique cette différence.
[ Posté le 22 avril 2010 à 13:27 |
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Mardi, 24 novembre 2009
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
Le détecteur IR (QRB1134)
ne fonctionne pas très bien pour détecter le déplacement de l'aiguille du
compteur d'eau. Le fait qu'il y ait une couche de verre et que le compteur
soit sous eau ne doit probablement pas faire partie des paramètres normaux de
fonctionnement…
J'ai suivi le schéma à
superdroidrobots.com
pour le branchement, en ajoutant une LED rouge entre la résistance de
10 kΩ et le collecteur du phototransistor. L'Arduino n'a servi que comme
source de tension stabilisée.
L'émetteur IR a une tension de polarisation de 1,7 V et supporte jusqu'à
40 mA, il nécessite donc une résistance de 83 Ω. Avec 110 Ω, on
obtient 30 mA. J'ai utilisé deux résistances de 220 Ω en parallèle lors
du deuxième test.
Il faudrait essayer en utilisant une entrée analogique de l'Arduino et
observer les variations de tension au bornes du capteur pour voir si on arrive
à détecter le passage de l'aiguille.
[ Posté le 24 novembre 2009 à 21:43 |
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Lundi, 28 septembre 2009
Catégories : [ Bricolage/Arduino ]
J'ai enfin essayé de détecter le passage de l'aiguille des décilitres du
compteur d'eau en utilisant
l'oscilloscope,
mais sans succès. Je suppose que le verre diffuse trop les infrarouges, et que
l'aiguille est trop petite pour être détectée. Le capteur voit facilement un
trait de marqueur noir de 5 mm sur du papier blanc, et dans certaines
conditions, un trait de 1,5 mm, mais est incapable de percevoir un trait de
0,5 mm.
Ce que j'ai réussi à détecter en revanche, c'est la rotation d'une sorte
d'hélice à 6 pales qui tourne lorsque de l'eau passe à travers le compteur.
J'obtiens un signal oscillant entre 960 et 972 (sur l'échelle de 0 à 1024 de
l'ADC de l'Arduino), mais il faudrait mesurer la fréquence pour connaître la
vitesse de rotation de l'hélice, et ensuite trouver la relation entre la
vitesse de rotation et le débit d'eau.
AJOUT: l'hélice semble faire 6 tours par litre d'eau.
Il y a a priori suffisamment de points pour trouver la fréquence même si le
débit d'eau augmente.
AJOUT: la fréquence d'échantillonage maximale par défaut est 9600 Hz (trouvé
là). Le
compteur ayant un débit maximum de 2500 L/h, ça fait 25 mouvement de pale
(1/6 è de tour) par seconde. Si on compte 10 échantillons par mouvement de
pale, il faut échantilloner à 250 Hz, ce qui est largement faisable. En
pratique, je suppose qu'une fréquence plus faible devrait suffire aussi.
[ Posté le 28 septembre 2009 à 19:07 |
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Commentaire N° 1, Jérome (Colomiers, France)
le 18 janvier 2010 à 12:16
Lundi, 16 mars 2009
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
Yesterday late evening I went to the kitchen, switched the light on and…
nothing, except a slight buzzing from the switch. I ran to the fuse board and
removed a couple of unlabeled fuses (until I found the one for the kitchen,
which bore a label). Of course, the fridge is on the same circuit as the
light, so I had to pull it out of its corner to grab its power cord, and
connect it to one of the sockets in the kitchen (which are on a grounded
circuit).
After that, I removed the cover, I took a look at the inside of the swith. It
was full of cooked ants… We've been having ants in the kitchen (they came
with the house, they visit us at the end of the winter, and should leave when
the weather is warmer outside), but I never expects the buggers to walk into
the electric switch. Damn stupid animals (which they are, of course, taken
individually). So I vacuum-cleaned the switch, then used canned air to spray
the last pieces of ant out. But the switch was still not conducting
electricity.
The problem was that cooked ants don't conduct electricity very well (I
measured about 60 Ω through the switch) and the switch was still
buzzing. After a bit of thinking and scratching the contacts with a flat
screwdriver (too big for the job), I thought of using a piece of sandpaper,
stick it between the contacts, close the switch, and pull. After a couple of
times, the switch was better than new (with a resistance of under an Ohm).
Lights are working fine now. But why does this always happen at night, when
you have to work with a flashlight in your mouth?
[ Posté le 16 mars 2009 à 21:33 |
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Commentaire N° 2, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 17 mars 2009 à 10:33
Commentaire N° 5, Joël (Montreal, Canada)
le 21 janvier 2010 à 00:51
Jeudi, 26 février 2009
Catégories : [ Bricolage | Jeux ]
Knizia a publié en 1993 En Garde, un jeu de cartes qui
simule un duel d'escrime. Il a été réimplémenté en 2004 sous le nom de
Duell avec quelques cartes
supplémentaires, puis réédité en 2008, mais payer 30 EUR (ou 20 pour l'édition
de voyage) pour 25 cartes numérotées de 1 à 5, un plateau de 23 cases et 2
pions, ça me paraît de l'abus. Je ne suis pas un artiste, mais pour essayer si
le jeu est bien je me suis dit que je pourrais bien fabriquer les composants
moi-même.
Les dessins sur les cartes viennent des cartes de l'édition 2008, d'où j'ai
simplement relevé la position des deux bretteurs sous forme de bonshommes
« bâtons ». Les cartes ont été imprimées
à grand'peine
sur des feuilles microperforées.
Le texte des cartes spéciales est une traduction de l'espagnol vers l'anglais
à partir de d'une autre version faite maison.
Le plateau est collé à la colle en aérosol sur du carton gris de 2 mm. Les
deux moitiés sont assemblées par du gaffer's tape. Il est un peu raté, les
deux moitiées ne s'assemblent pas correctement. La prochaine fois, je devrai
couper la surface du plateau après collage seulement.
Les pions sont fabriqués à partir de fil de fer zingué de 0,9 mm de diamètre.
La tête et les bras sont d'une partie, le tronc une deuxième et les jambes une
troisième, et ont été soudées ensemble avec un fer à souder. Le socle est en
carton colorié au feutre. J'ai d'abord collé les bonshommes à la cyanoacrylate
sur le carton, mais ils n'ont pas tenu, je les ai recollés à la colle
universelle transparente (sans eau).
La boite est en carton gris d'1,5 mm. Les coins sont assemblés avec de
la bande adhésive transparente de base (qui ne tient pas bien), et la
couverture est collée encore une fois à la colle en aérosol.
Les règles sont copiées de la version de Chris Lawson
publiée sur le web.
[ Posté le 26 février 2009 à 10:22 |
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Dimanche, 21 septembre 2008
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
Gasoline is expensive, at a current price of about 1.50 EUR/L it costs me
currently 950 EUR/year. Especially now that I live closer to work, the
consumption is higher because the trip is so short.
The previous plan was to get an electric car, but it would cost a lot and need
to keep the old car for longer trips (for example I wouldn't trust the e-car
to take us to Tampere, wait 4 weeks on the airport's long-term parking lot and
drive us back home). That means more insurance costs, parking space worries
and so on.
The current plan is to build a recumbent trike
based on one (or two?) old (or new) bycicles. Ready-made devices cost about
2,500 EUR (with one exception at 900 EUR, that's suspicious), home-made may
take years to build (I have to learn welding first, but Reijo would probably
be happy to teach me) but it may cost less than 500 EUR. Such a trike would be
perfect for going to work daily, although coming back from work maybe
difficult without electrical assistance (the hill back home is definitely steep).
Another requirement would be to have a protection from rain and snow, and
ready-made such trikes cost 4500 EUR (5500 EUR with electrical assistance,
that's over 5 years of gasoline at current rate). I have no idea how to build
a hull for a trike (most people building trikes seem to live in countries
where snow and cold is something that happens to other people). Also, it needs
to support an extra seat for a child (this one could be mounted over the back
wheel, but getting it below the hull will be difficult.
[ Posté le 21 septembre 2008 à 19:03 |
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Mercredi, 27 août 2008
Catégories : [ Bricolage ]
Thierry Stoehr voit des formats partout, y
compris dans les machines à café. Thierry
m'a contaminé, j'ai dernièrement vu des formats dans les ponceuses électriques.
Pour poncer les surfaces de ma tour à dés,
j'ai décidé de m'acheter une ponceuse électrique qui devrait en théorie
permettre de poncer une grande surface plane d'un coup. Biltema (pas de lien,
faut pas déconner, je vais pas leur faire de la pub gratuite) en vend
plusieurs modèles à des prix dérisoires (la qualité est probablement
dérisoire, et le salaire des ouvriers qui les ont fabriqués aussi). D'abord,
j'étais parti sur le modèle ci-contre. Allant au magasin, je découvre qu'il en
existe un deuxième modèle, probablement plus adapté à mes besoins, et que
j'avais raté en feuilletant le catalogue (pourtant, il était sur la même page
que l'autre…). En y regardant de plus près, je me rends compte que dans le
premier modèle, les papiers de verre correspondants sont triangulaires et
s'attachent à la ponceuse par un genre de scratch. Ils coûtent 3,25 EUR le
paquet de 10.
Sur l'autre modèle (à gauche), les papiers de verre sont rectangulaires, et
s'attachent par une sorte de pince. Ils coûtent 2,50 EUR les 10. Et comme il
ne s'agit finalement que de morceaux de papier de verre classique, je peux
très bien en acheter un paquet de 20 feuilles, qui me donneront 60 morceaux,
le tout pour 3,50 EUR, au prix d'un peu de découpage.
Quelle est la morale de l'histoire ? Le premier modèle utilise des
consommables dans un format exclusif, difficile à fabriquer soi-même (à cause
du scratch et un peu de la forme), et qui coûtent 0,33 EUR la plièce. La
deuxième utilise un format ouvert, facile à fabriquer soi-même, et qui coûte
en fin de compte moins de 0,06 EUR la pièce, soit six fois moins. Je reconnais
que les deux ponceuses n'ont pas le même usage (la première sert à poncer dans
les coins, la deuxième sur des surfaces planes), mais pour mon usage personnel
à moi que j'ai, les formats ouverts l'emportent haut la main. Comme
d'habitude.
[ Posté le 27 août 2008 à 23:58 |
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tour à dés ?
Commentaire N° 1, Pascal (Marais, Belgique)
le 2 avril 2012 à 11:43
Commentaire N° 2, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 2 avril 2012 à 12:54
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage | Cuisine | Science ]
© Braun.com
Today, I broke my hand processor (the thing on the left). I was preparing
choco noursy v3
and the preparation was too thick. So the motor had difficulties for spinning,
and since it could not deliver the energy into movement, it delivererd it as
heat. I was aware the the device was heating, because I noticed it earlier,
preparing older versions of Choco Noursy. So I was very careful to check that
the body of the device was not becoming too hot. I was actually amazed that it
didn't heat very much. What I didn't thought about, though, is the speed at
which the heat would come out of the device. Now I know: it comes out slowly.
Even when the device stopped working, the body was not hot. It became hot a
couple of minutes later. But it was already all over (and you could tell
simply by the smell of it). Also, there was a noise when you shook it.
This is when I decided to make an autopsy of the corpse. Since it was all
sealed, I had to break it. I finally resorted to saw the body through in order
to check where the blue pellets were coming from.
They came from the rotor of the electric motor. Diagnostic: the insulation
material melted due to the heat. I'm not sure what it was insulating exactly,
probably the different coils of copper wire forming the rotor. The other end
of the rotor was also covered with melted red plastic.
So, what have we learned today? If the motor spins much more slowly than maximum
speed, it is going to melt soon. Change the gear if possible (yes, I could
have done that, the larger bowl of the blender has cogwheels in its hood, and
spins more slowly, it is therefore better suited for thick preparations.
[ Posté le 27 août 2008 à 23:57 |
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Here's an idea to consider...
Commentaire N° 1, Niko Kotilainen (Jyväskylä, Finlande)
le 15 août 2006 à 22:35
Catégories : [ Bricolage | Livres ]
Voici comment relier soi-même de manière simple une pile de papiers pour en
faire un livre. Typiquement, j'utilise cette méthode pour relier des livres
que j'imprime moi-même, comme par exemple ceux que Roland C. Wagner a mis en
téléchargement libre.
C'est tellement plus confortable que de lire sur un écran d'ordinateur !
J'imprime les livres de manière à placer deux pages A5 sur une page A4, en
recto verso (donc quatre pages A5 sur une feuille A4), puis je coupe au milieu
avec un massicot, en prenant les feuilles par paquets d'une dizaine. Il faut
si possible couper le plus au milieu de la page possible, afin que la tranche
du livre, une fois toutes les pages rassemblées, soit la plus régulière
possible. On peut compenser une irrégularité d'un ou deux millimètres en
remplissant avec de la colle, mais si le trou est plus profond, il faudra
mettre de nombreuses couches de colle, ou utiliser une colle de type
polyuréthane (PU) qui gonfle en séchant (je n'ai jamais essayé).
Matériel
Reliure
- colle blanche (à papier ou à bois, de type PVA)
- spatule à colle
- ficelle
- petite scie à dents fines (à métaux)
- deux lattes de bois ou une presse faite maison
- deux serre-joints
Couverture
- carton de couleur (260 g/m² par exemple)
- feutre (par exemple doré)
- règle métallique
- cutter
- crayon à papier
- plastique transparent autocollant
Ma presse
Elle se compose d'un morceau de contreplaqué (250 × 180 × 6,5 mm) un peu plus
grand qu'une page A5 et de deux tasseaux (14 × 55 mm, 218 mm et 116 mm de
long) collés sur la plache de manière à former un angle droit. Un deuxième
morceau de contreplaqué (220 × 145 × 6.5 mm) vient recouvrir exactement
l'emplacement entre les deux tasseaux.
On peut se passer de la presse et utiliser à la place deux lattes de bois pour
serrer la pile de papier (voir les photos). L'intérêt de la presse est de
pouvoir « taquer » le papier contre les tasseaux et avoir des pages les
mieux alignées possibles. Sans la presse, il faut être à deux pour taquer les
pages, placer les lattes puis les serre-joints.
Collage des page
Rassembler les pages (dans le bon ordre !) de manière à ce que les trois
bords extérieurs des pages soient bien alignés. Ceci permet d'éviter de devoir
couper les bords une fois la reliure achevée, chose impossible sans un
massicot capable de couper droit une épaisseur importante (hors de prix pour
un particulier). Serrer les pages ensemble soit en plaçant les deux lattes
de part et d'autre de la pile de feuilles à 5mm du quatrième bord, soit en
plaçant les feuilles dans une presse comme celle que j'ai fabriquée. Serrer
avec les serre-joints.
Couper des encoches dans la tranche du livre à l'aide de la scie, sur une
profondeur de 1 à 2 mm.
Enduire la tranche de colle blanche et placer un morceau de ficelle dans
chaque encoche. Les morceaux de ficelle doivent dépasser d'un centimètre
environ de chaque coté.
Laisser sécher la colle pendant 15 minutes environ, puis repasser une couche
de colle. Laisser sécher 12 heures au moins.
Couverture
Découper un morceau de carton suffisamment grand pour couvrir le livre, puis
le plier de sorte qu'il s'emboite sur le livre.
Écrire le texte adéquat sur la tranche (si on utilise un feutre doré à base de
peinture, il faut laisser sécher le texte plusieurs minutes).
Tracer deux lignes à l'aide d'un objet fin et non tranchant de part et d'autre
de la tranche sur l'extérieur de la couverture. Ceci permet à la couverture de
s'ouvrir sans exercer de contrainte sur le collage près de la tranche. Ces
lignes ont un nom technique, mais je ne m'en souviens plus.
Enduire l'intérieur de la couverture de colle, entre les deux lignes
précédemment tracées et emboiter rapidement le livre dans la couverture. Cette
étape est délicate, car si on met trop de colle, le carton gondole, et si on
met trop peu, elle sèche trop vite. Placer le livre dans la presse afin de
maintenir les parties collées sous pression.
Laisser sécher pendant plusieurs heures.
Découper un morceau de plastique transparent autocollant suffisamment grand
pour couvrir la couverture et se rabattre sur l'intérieur de la couverture.
Coller le plastique sur le livre.
Et voilà ! Le livre est suffisamment solide pour être lu plusieurs fois sans
que les pages ne tombent.
Modifié le 10/12/2007: Un lien vers un autre tutoriel sur la reliure maison
par Andrew Seltz.
Il suggère en particulier de poncer la tranche du livre avant de l'encoler
(avec un papier de verre à grain 200 ou 300).
[ Posté le 27 août 2008 à 23:57 |
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Commentaire N° 1, Raffa (Theux, Belgique)
le 19 août 2006 à 13:59
Commentaire N° 3, Raffa (Bruxelles, Belgique)
le 20 août 2006 à 19:37
Comment imprimer ?
Commentaire N° 4, Anne (Valbonne, France)
le 4 septembre 2006 à 16:02
Commentaire N° 5, Matthieu Weber (Finlande)
le 4 septembre 2006 à 18:28
Commentaire N° 6, Anne (Valbonne, France)
le 5 septembre 2006 à 09:34
Commentaire N° 7, Thibaut (Paris, France)
le 19 septembre 2006 à 13:22
Commentaire N° 8, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 19 septembre 2006 à 16:00
Commentaire N° 9, Fred (Japan)
le 30 septembre 2006 à 17:44
Commentaire N° 10, Matthieu Weber (Finlande)
le 30 septembre 2006 à 18:08
Commentaire N° 11, Fred (Japan)
le 2 octobre 2006 à 20:44
Obtenir des cahiers ordonnés
Commentaire N° 12, William Marie (Gonfaron, France)
le 13 octobre 2006 à 00:18
rehabiliter un livre
Commentaire N° 13, jirel (Montréal, Canada)
le 14 octobre 2006 à 21:44
Commentaire N° 14, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 16 octobre 2006 à 11:56
merci
Commentaire N° 15, jirel (Montréal, Canada)
le 25 octobre 2006 à 06:58
Commentaire N° 16, Nicolas (Bruxelles, Belgique)
le 28 février 2007 à 18:55
Commentaire N° 17, Matthieu Weber (Finlande)
le 28 février 2007 à 21:19
Commentaire N° 18, Nicolas (Bruxelles, Belgique)
le 2 mars 2007 à 10:29
Commentaire N° 19, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 2 mars 2007 à 10:48
impresion recto verso
Commentaire N° 20, gerard (France)
le 12 mars 2007 à 01:46
si l'imprimante saute des pages
Commentaire N° 21, Marie-Anne (Paris, France)
le 2 octobre 2007 à 15:26
et la reliure japonaise tu connais?
Commentaire N° 22, loncletom (Croix, France)
le 5 février 2008 à 23:18
Commentaire N° 23, Matthieu Weber (Finlande)
le 5 février 2008 à 23:35
Commentaire N° 24, raymond (Paris, France)
le 10 mai 2008 à 18:23
Commentaire N° 26, Anonyme (Paris, France)
le 8 novembre 2008 à 13:52
Commentaire N° 27, Matthieu Weber (Finlande)
le 9 novembre 2008 à 17:52
question/réponse
Commentaire N° 28, maylis (Viroflay, France)
le 26 mai 2009 à 01:01
Commentaire N° 29, Jo pango (Tournon-sur-rhône, France)
le 20 février 2010 à 03:01
Commentaire N° 30, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 20 février 2010 à 11:22
Commentaire N° 31, Beuh Livemi (Montrouge, France)
le 11 septembre 2010 à 14:56
Commentaire N° 32, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 11 septembre 2010 à 15:55
Commentaire N° 33, Beuh Livemi (Montrouge, France)
le 14 septembre 2010 à 14:09
Commentaire N° 34, Anonyme (Montrouge, France)
le 14 septembre 2010 à 14:14
Commentaire N° 35, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 14 septembre 2010 à 14:46
est-ce de la reliure?
Commentaire N° 36, Au relieur d'ames (Pierre-bénite, France)
le 26 septembre 2010 à 21:37
Commentaire N° 37, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 26 septembre 2010 à 23:42
C'est bien de la reliure
Commentaire N° 38, Sully FONTAINE (Saint-pierre, Reunion)
le 7 octobre 2010 à 23:29
Commentaire N° 39, Rémi (Wuustwezel, Belgique)
le 8 janvier 2011 à 18:40
au relieur professionnel
Commentaire N° 40, niko (France)
le 23 janvier 2011 à 12:58
Commentaire N° 42, Un éléve vous remerciant de l'avoir aidé pour son TPE (Évry, France)
le 29 janvier 2011 à 21:44
merci
Commentaire N° 43, Hélène (Lyon, France)
le 21 mars 2011 à 19:10
Sympa ce tuto
Commentaire N° 44, Pierre-Louis (Viroflay, France)
le 30 avril 2011 à 21:14
Sympa ce tuto
Commentaire N° 45, Pierre-Louis (Viroflay, France)
le 30 avril 2011 à 21:21
Impeccable
Commentaire N° 46, Pierre-Louis (Paris, France)
le 6 juin 2011 à 13:56
http://users.jyu.fi/~mweber/blog/
Commentaire N° 47, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 6 juin 2011 à 14:01
fan de reliure je vous kiffe !!!
Commentaire N° 48, than (Schiltigheim, France)
le 15 juillet 2011 à 17:46
Commentaire N° 49, Leonomad (Paris, France)
le 28 août 2011 à 16:18
Commentaire N° 50, Matthieu Weber (Jyväskylä, Finlande)
le 28 août 2011 à 17:42
renseignement
Commentaire N° 51, mangeolle (Cannes, France)
le 5 janvier 2012 à 13:38
Commentaire N° 52, Matthieu Weber (Strasbourg, France)
le 7 janvier 2012 à 18:10
Faire soi-même
Commentaire N° 53, Pearltrees (Courbevoie, France)
le 28 avril 2012 à 15:19
Commentaire N° 54, Adeline (Paris, France)
le 27 mai 2012 à 16:08
Commentaire N° 55, Adeline (Paris, France)
le 27 mai 2012 à 16:12
Commentaire N° 56, harmant (France)
le 30 septembre 2012 à 11:26
Presse a relier
Commentaire N° 57, harmant (Rennes, France)
le 30 septembre 2012 à 13:04
Quid les ficelles ?
Commentaire N° 58, Blanc (Orléans, France)
le 20 février 2013 à 19:03
Commentaire N° 59, Matthieu Weber (Rantasalmi, Finlande)
le 20 février 2013 à 22:33
Commentaire N° 60, olivier (United States)
le 11 mars 2013 à 01:16
Parfaitement parfait
Commentaire N° 61, Joël (Lièpvre, France)
le 28 mars 2013 à 11:35
Commentaire N° 62, Brunhild (Marseille, France)
le 12 avril 2013 à 20:23
Merci
Commentaire N° 63, Jean-Pierre (Terrebonne, Canada)
le 25 avril 2013 à 16:01
Commentaire N° 64, enzo (France)
le 17 mai 2013 à 14:21
Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Bricolage ]
After successfully resizing a card
sleeve, I wanted to try something else:
card lamination using a card sleeve and an iron (the one you use to get the
creases off your clothes). I put a card in a sleeve, put it between two layers
of baking paper, set the iron to the “cotton” and ironed it on both sides,
on top of a piece of mirror (because it's flat and hard).
Well, it doesn't work. What you get is a card sleeve that has lost its shine
and its transparency in some areas and doesn't adhere to the card (actually,
it does adhere in some places, but on most of the surface it doesn't,
especially on the laser-printed parts).
[ Posté le 27 août 2008 à 23:56 |
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