Les brigades du tigre
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Paris, 1912. La bande à Bonnot a braqué un transport de fonds et s'est enfuie sans prendre d'argent. Le commissaire Valentin, de la Première Brigade Mobile, est chargé de l'arrestation de Bonnot. Il découvre que ce qui a été volé est un livre de comptes appartenant au directeur de la Société Générale, et que ce dernier tient à tous prix à le récupérer. Mais Valentin est déssaisi de l'enquête, et est affecté à la protection du prince Bolkonski, venu à Paris pour signer la Triple Entente entre la France, la Grande Bretagne et la Russie. Des anarchistes russes à Paris troublent la réception officielle, et Valentin apprend que le peuple russe n'aime pas le Prince, alors que sa femme, Constance, est davantage du coté du peuple. En fait, la princesse est la maîtresse de Bonnot (qui est tué lors d'une fusillade alors que la police tente de l'arrêter). La princesse veut que Jean Jaurès, fondateur du journal l'Humanité, publie le contenu du livre de comptes, permettant de mettre au jour la corruption de l'élite française et du prince, à qui est distribuée le montant des Emprunts Russes (au lieu d'aller au peuple Russe, destinataire officiel), et de dénoncer la Triple Entente. La princesse réussit à convaincre Valentin de l'aider à trouver le code. Valentin fait replacer discrètement le livre de comtpes chez le banquier, puis fait arrêter ce dernier dans l'espoir de lui faire avouer le code en l'interrogeant. Mais il est libéré par le préfet de police de Paris juste avant de craquer, et Valentin démissionne. En rentrant chez lui, le banquier est torturé par Pjotr, un anarchiste russe, complice de la princesse, et lui fait avouer le code. De son coté, Valentin tente de trouver le nom du complice de Bonnot, mais se fait arrêter par les hommes du prince. La princesse, de son coté, fait parvenir le code à Jean Jaurès. Après la signature de la Triple Entente, tout le monde se retrouve à l'opéra pour la première d'Ivan le Terrible, mis en scène par la princesse. Valentin et ses hommes tentent de désamorcer la bombe placée par Pjotr dans sa loge, mais ne réussit qu'à sauver la princesse. En échange du silence de Valentin, le chef de la Sureté accepte de limoger le préfet de police (qui était corrompu lui aussi). Jaurès est convaincu de garder le silence sur cette affaire, et la Triple Entente est préservée. Valentin retrouve son poste de commissaire.