Jeudi, 28 août 2008
Catégories : [ Science | Thé ]
Deuxième série de mesures de la température d'une théière qui
refroidit,
cette fois-ci avec un thermomètre infrarouge Fluke 561 HVACPro.
J'ai utilisé les mêmes récipients : un gobelet un argent massif et un gaiwan
en porcelaine. Les mesures sont faites sans couvercle.
Conditions initiales
- température de la pièce (et donc des récipents) : 23 °C
- température de l'eau au sortir de la bouilloire : 95 °C
- volume d'eau versé dans chaque récipient : 1 dL
Résultats
Pour chaque récipient, on donne le matériau dans lequel il est fabriqué, la
masse du-dit récipient, la chaleur massique du matériau, puis la température
de l'eau au bout de 10 secondes, 30 secondes, puis toutes les 30 secondes
jusqu'à cinq minute. Les mesures ont été arrondies au degré près dans le
tableau, mais pas pour le graphe.
| Matériau | Masse | 10 s | 30 s | 60 s | 90 s | 120 s | 150 s | 180 s | 210 s | 240 s | 270 s | 300 s |
Gobelet | Argent | 100 g | 80 °C | 79 °C | 77 °C | 75 °C | 75 °C | 71 °C | 73 °C | 70 °C | 71 °C | 69 °C | 67 °C |
Gaiwan | Porcelaine | 82 g | 76 °C | 76 °C | 73 °C | 70 °C | 68 °C | 68 °C | 68 °C | 67 °C | 66 °C | 64 °C | 64 °C |
Discussion
La mesure prise par le thermomètre dépend de la réflexivité de la surface et
de sa couleur. De plus, si les mesures sont rapides, elles fluctuent beaucoup
(ce serait dû à la présence de vapeur d'eau au dessus de la surface de l'eau
chaude), parfois de plusieurs degrés.
En comparant avec les chiffres de l'expérience précédente, on remarque que les
mesures donnent des valeurs nettement plus basses.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ TV ]
Completely useless, therefore absolutely essential: I made a synoptic
comparison of the cues that form MacGyver's title sequence in the first five
seasons.
One can notice that most episodes of the third season have a shorter title
sequence (unless this is made by the Finnish channel rerunning it?). Also,
some cues in season five have been re-shot, with an older and sexier-looking
Richard Dean Anderson (and an older-looking-only Dana Elcar), instead of being
taken from existing episodes.
Surprisingly, the first episode of the fourth season (The Secret of Parker
House) contains cues that have not been used before and are not resused later
in the season. The Pilot episode also shows the explosion and series title cue
on a background taken from the end of the teaser instead of the black
background that is used later.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ TV/Leffakone ]
Today when Leffakone was supposed to record MacGyver, it didn't record
anything. The DVB-T card was able to tune to the right frequency, but nothing
came out of it. I openend the case, removed the PCI card, unplugged the
wakeup timer,
blew on the PCI card, put the card back, and it worked. Then I unplugged the
card again, plugged the timer back (the WOL port is between two PCI slots, it
can't be reached without removing one of the nearby cards), plugged the card
back, and it's still working, currently recording Lois & Clarke. I just hope
it will continue to work.
It's not the first time I have trouble with the computer, two years ago, the
DVB-T card refused to record anything while I was connected to the computer
through the modem with a simple serial terminal. Computers work in mysterious
ways…
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ TV/Leffakone ]
The timer was
working almost correctly, except that the most significant byte of the timer
value was mishandled: there was a for 65536 loop
statement, but since the
PIC 16F84a is an 8 bit microcontroller, the value 65536 was understood as 0,
and the MSB of the timer was considered as null. Niko reprogrammed the PIC
using two nested for 256 loop
statements.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Science ]
Modification: les calculs ne prenaient pas en compte le rendement de la
transmission et de la liaison pneu-route. C'est maintenant chose faite.
Il y un an et demi de cela, lorsque le prix de l'essence était monté en
flèche, quelqu'un avait affirmé que rouler un peu moins vite permettait
d'économiser beaucoup d'essence. Étant donnée le peu de confiance que
j'accorde aux media de masse (y compris Internet), je m'étais mis à calculer
la consommation théorique de ma voiture à vitesse constante sur route plate
sans vent en fonction des caractéristiques de ma voiture. Le résultat n'était
pas probant, parce qu'il me manquait un élément clé : le rendement
énergétique du moteur, qui n'est bien évidemment pas constant (ça serait trop
facile) mais dépend du régime du moteur et du couple produit. N'ayant pas
trouvé cette information pour mon propre moteur, j'ai remis la fin des calculs
aux calendes grècques. Ce jour là vient d'arriver. M'armant de courage j'ai
essayé de produire une formule qui me donne une approximation du rendement,
inspirée de la courbe de consommation spécifique d'un moteur Mercedes et en
supposant que celle de mon moteur n'en serait pas trop loin, à 10% près. Le
résultat est sur cette page que
je viens de mettre à jour.
Et on en conclue que c'est vrai, surtout à grande vitesse : respecter la
limite de 130 km/h au lieu de foncer à 150 km/h économise 29% d'essence
(12 L/100km au lieu de 17 L/100km), rouler à 110 km/h au lieu de 130 km/h
économise 25% de carburant (9 L/100km au lieu de 12 L/100km). Dans la
pratique, ces valeurs sont en fait sous-évaluées, à cause de l'état de la
route, de déclivités, du vent, de l'impossibilité de conserver une vitesse
parfaitement constante, de frottements que je n'ai pas pris en compte et de
l'énergie inertielle emmagasinée dans les pièces tournantes.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Science ]
Ça y est, après quelques déboires avec thegadget.co.uk (qui ont annulé ma
commande parce qu'ils ne livrent pas en dehors du Royaume-Uni, alors qu'il y
avait un champ « pays » tout exprès dans le formulaire de saisie de
l'adresse de livraison), j'ai finalement acheté (en solde) une balance précise
à 0,1g (avec une portée de 200g, MyWeigh Triton T2) chez
digital-scales-company.co.uk
accompagnée d'une masse marquée de 100g pour la calibrer. Elle a l'air
raisonnablement précise, j'ai pesé quelques pièces de monnaie usagées et la
balance a indiqué leur masse nominale (avec parfois 0,1g de moins, ce qui est
acceptable).
Je vais enfin pouvoir utiliser des carraghénanes
en cuisine sans avoir besoin de doser 0,5g au pif avec une petite cuillère et
savoir combien de thé je mets dans mon gaiwan…
Mais je viens aussi de tomber sur une alerte à la fraude
au sujet de balances copiées. La mienne semble être une originale (en plus elle est garantie 30
ans, je doute qu'un copiste s'amuse à garantir la sienne aussi longtemps). Et
puis, le nombre de sites web qui vendent des balances est hallucinant, ça doit
être un marché juteux…
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Science ]
Il y a quelques temps, j'avais calculé la consommation théorique
(approximative) de ma voiture à vitesse constante sur route plate. Je me suis
rendu compte que faire les même calculs en montée (toujours à vitesse
constante) n'était pas tellement difficile (bien que j'aie dû
oublier une probable augmentation des frottements au niveau de la route, mais
je pense qu'elle est insignifiante par rapport au poids. Les nouveaux graphes
sont sur la même page.
On peut constater que le poids joue un grand rôle dans l'augmentation de la
consommation en montée et qu'une voiture lourde sera beaucoup plus gourmande
qu'une voiture légère dans cette situation.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Râleries ]
There is a curse of the hacker. What I mean here is hacker in its original
sense, i.e., a person who modifies computer programs to adapt them to his (or
her, and I'll stop with that just here) needs, or simply to fix bugs. I will
extend the definition to any person having enough skills in a particular
domain and who is able to do things by himself instead of requiring somebody
else's services.
Having the skills to do something compells you to do it if you are not happy
with what you already have. I'll take an example: I've build my
leffakone
because I wanted a device that can receive and record both analog and digital
TV, automatically skip the commercials when watching the recordings, watch
DVD, DivX and other more exotic video formats, play music in various exotic
formats, watch pictures taken with my digital camera, play video games and
videoconference with my parents. Two and a half years ago, there was no device
on the market able to do all that, and there still is none that can read
exotic video formats without some amount of fiddling. So I built mine. And it
took a huge amount of time. I'm very happy with the result, it was a great
hobby, but it still took lots of time.
More recently, I've started a blog (you noticed, didn't you?) and again I want
my blog to do what I want it to do, not what the blogging system provider
thinks I want to do with it. So I went on hacking the blog engine (it is free
software, it is meant to be
hacked). And it takes loads of time (especially since I'm trying to get the
software do things it has never been meant to do, like multiple languages and
multiple categories). The result is that I'm getting late to bed, and I'm
perpetually tired (and the fact that my daughter randomly wakes me up in the
middle of the night doesn't help either).
But I'm not only a software hacker, I'm a cooking hacker too. I want to make
my own whatever-most-of-you-buy-ready-made-at-the-shop, such as
chocolate-hazelnuts paste
(under development), ice-cream (in the todo list), pizzas (in production),
pesto (in production) and probably more things in the future.
But there is so little time! When will I have the time to do all this?
Being skilled is definitely a curse.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Râleries ]
Google semble connaître au moins trois Matthieu Weber.
Lui, c'est moi, mais
lui c'est pas moi, et
lui c'est pas moi non plus (d'ailleurs,
c'est pas un Matthieu, c'est un Mathieu). Tout comme le champion 1991 de
boomerang, qui est un Mathieu et donc pas moi non plus, mais Google ne le
connait pas trop.
Tout ça pour dire que j'ai reçu hier soir un mail destiné à Matthieu Weber
(pas moi, l'autre) par erreur, et j'ai trouvé ça plutôt rigolo.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Râleries ]
Omnicode is a replacement to the Geek
Code. Here's mine:
---------------------- OmniCode 0.1.7 -----------------------
sxy cm184 kg85 skd39363 ha150c0d ey31190f eso.glasses sp= Ag1976.October anE
hdd Lo62,15N-25,45E.Finland.Jyväskylä GM+2DN rlO.omniquantist ZoB Crc(3)&e(2)
Edc(7) MvD RlM Kd1x MBISTJ.I22;S38;T38;J100 FH! UFErwin IN10 HbBoardgaming&TV
AdI&O.Chocolate;Tea PrC(7)&C++(5)&Pascal(4)&Perl(7)&Python(6)&Bash(7)&Java(5)
LAFR(9)&EN(7)&FI(5)&DE(5) PlM&G
----------- Omnicode http://www.gadgeteer.net/omnicode/ -----------
Writing all this about me is probably worse than creating a FaceBook account.
On the other hand, given the shape of the data, I doubt many people are
willing to spend time decoding it.
Oups :)
At the same time, I discovered the Myers-Briggs personality
test, and a description of
my type, ISTJ. According to
Careers for ISTJ Personality
Types, I'd make a good computer
programmer. I'd also make a good business executive, administrator, manager,
accountant, laywer, dentist or military leader (urgh).
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Livres ]
I ordered recently
loads of Discworld books. The first half of my order finally arrived yesterday
and I picked it up at the post office today.
In addition to the Discworld books, I also ordered Stephen Baxter's Manifold:
Time which has recently been translated to French by Roland C.
Wagner. If
he likes the book, it can't be all that bad.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Livres/BD/Survivaure ]
© Amazon.fr
Knarf, a l'instar de son pote
POC, a lancé une saga parodique et déjantée en
MP3, Les aventuriers du Survivaure.
Dans ce troisième volume, l'équipage du Survivaure rencontre les
Peutêtriens. Ces derniers ont capturé un vaisseau Krygonite, et Bleuten et
Johnson partent à la rencontre de la flotte Krygonite. Grâce à leur droïde,
ils réussissent à s'infiltrer dans les communications ennemies et à les faire
mourir de rire en leur racontant des blagues, sauvant ainsi le consortium.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Livres/BD/Survivaure ]
© Amazon.fr
Knarf, a l'instar de son pote
POC, a lancé une saga parodique et déjantée en
MP3, Les aventuriers du Survivaure.
Dans ce deuxième volume, l'équipage du Survivaure se téléporte sur Dinaro,
où ils rencontrent des indigènes qui se suicident à la moindre faute. Ils se
font passer pour ce qu'ils croient être les messies locaux, attendus avec
impatience, mais en fait ils se retrouvent condamnés à mort et ne doivent leur
salut qu'à une attaque des Krygonites. Ne pouvant communiquer avec leur
vaisseau, ils tentent de retrouver un soldat qui avait été abandonné sur la
planète treize ans auparavant avec pour mission de surveiller une cargaison
d'armes et d'attendre qu'on vienne le récupérer. Pendant ce temps sur Terre,
des politiciens fomentent un plan pour s'emparer du pouvoir.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Livres/Barrayar ]
Mirror Dance is a novel by Lois McMaster Bujold published in 1994 which
follows Brothers in Arms.
Mark, passing as Miles, commands the Dendarii to kidnapp all the clones bred
by House Bharaputra on Jackson's Whole (where he was himself bred) and whose
fate is to have their brain replaced by the brain of their progenitors, being
effectively killed. The operation failes, and they lock themselves in one of
the buildings of the complex. Miles, coming back from his holidays, learns
about the operation and launches a rescue mission, which barely succeeds and
where Miles is killed. He is put in cryo-stasis, but his container is lost
during the escape (sent to an unknown destination by the medic who was taking
care of him, and got killed just after that). Mark is sent to Barrayar to meet
his biological parents at last and be trained to be the new Lord Vorkosigan,
in case Miles' body is not recovered. After unfructuous attempts by ImpSec to
find Miles, Mark decides to give it a try himself. With the help of his mother
and Emperor Gregor, he gets access to ImpSec's files, and finally gets a lead
to the Miles' probable location. Meanwhile, Miles has been revived on
Jackson's Whole, in the Durona Group, a medical unit under the protection of
House Fell and composed only of clones. Lilly Durona hopes to get Miles' help
in order to escape from Jackson's Whole with all her sister-clones. Mark
finally manages to find Miles, but they are assaulted by two different command
groups and separated again. Mark, begin confused with Miles, is kidnapped by
Baron Ryoval, who wants to get revenge for what Miles did to
him,
while Miles is prisoner of Baron Bharaputra who wants to sell him to the
highest bidder. Mark is tortured by Ryoval for five days, but manages to
eventually kill the Baron and escape. Miles is eventually sold to Ryoval, but
arrives there after Mark has killed him and his staff have eliminated
each other. Miles contacts ImpSec, and is then contacted by Mark. They all
gather at Durona's, where Mark negotiates the freedom of the Durona Group with
Baron Fell. In the end, Mark and Miles go back to Barrayar and start their
lives with their newfound brothers.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Livres/RC Wagner ]
La chanson de Jimmy est une courte nouvelle de Roland C. Wagner.
Le narrateur est un fan de Jimmy, auteur de science-fiction qui s'est
récemmnt distingué par ses théories du compolot sur les extra-terrestres. Un
jour, le narrateur rencontre Jimmy dans une librairie ésotérique durant une
séance de dédicace. Des hommes en noir attendent en face de la boutique, de
l'autre coté de la rue. Lorsque Jimmy les aperçoit, il s'enfuit. Après la mort
de Jimmy, quelques années plus tard, le narrateur essaye de trouver dans
l'½uvre de Jimmy un indice sur ce que ce dernier savait des extra-terrestres.
Le narrateur conclue que les divers accidents lors de voyages dans l'espace et
la déliquescence du programme spatial de la NASA ont forcément une cause, que
quelqu'un essaye de nous empêcher d'aller dans l'espace.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Livres/RC Wagner ]
Musique de l'énergie est une longue nouvelle de Roland C. Wagner
qui narre les aventures d'un groupe de rock américain, les Losers, dont le
leader, Ricky, est un des personnages principaux du Serpent déchiré.
Fuyant la police après un concert de Rock qui n'a pas plus aux autorités de
Seattle, les membres du groupe se retrouvent projetés dans la Psychosphère à
la suite d'un accident de la route. Ils sont guidés par l'archétype du Rock'n
Roll à travers des représentations du Rêve Américain produit par l'inconscient
collectif des hommes. Ils arrivent dans une ville des années 50 bien propre
sur elle et y jouent en concert, transformant la ville des années 50 en ville
des années 60. Le Rock'n Roll leur explique qu'ils ont effacé les années 50 de
l'inconscient collectif, se projetant ainsi dans la décénie suivante. Un
deuxième concert les emmène dans les années 70. Des extraterrestres (les mêmes
que dans Les derniers jours de mai) les
conduisent dans l'espace afin de leur éviter de vivre la chute de l'Amérikkke
à la fin des années 80. La soucoupe volante est attaquée par un Ronald Reagan
volant, représentation métaphorique de Dragon Rouge, à qui ils échappent en
aterrissant à nouveau, sur une Terre qui est à cheval entre la Réalité et la
Pshychosphère. Reagan se transforme en George Bush tandis qu'il essaye
d'éliminer les héros sur fond de guerre du golfe. Ricky parvient alors à
susciter une scène et des instruments, et le groupe joue une fois de plus pour
tenter de contrer l'influence de Dragon Rouge. Ce dernier parvient tout de
même à tuer le Rock'n Roll mais épargne les membres du groupe avant de
disparaître. Ils rencontrent alors Papa Legba (dieu du Blues et des
carrefours) qui leur explique que pendant qu'ils distrayaient l'entité qui se
cachait en Dragon Rouge, d'autres archétypes se sont occupés de Dragon Rouge.
Le groupe apportant de l'énergie aux archétypes grâce à leur musique, et ces
derniers les soutenaient “moralement”.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Livres/RC Wagner ]
L'esprit de la Commune de Roland C. Wagner met
en scène Peggy Sue, fantoma de son état et fille de Gloria, la fantoma
révolutionnaire et amie de Tem. Peu après la disparition de sa mère, le
Sacré-C½ur est remplacé par une statue de Louise Michel. Un témoin
prétend que la basilique a été emportée par des extra-terrestres et remplacée
par la statue. Peggy Sue retrouve le Sacré-C½ur dans le désert de l'Utah ;
elle a été achetée par un homme d'affaire qui avait fait un pacte avec un
inconnu, qui lui offrait la basilique en échange d'une statue géante de Louise
Michel, et qu'on effectuerait l'échange une fois la statue achevée.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:06 |
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Catégories : [ Livres/RC Wagner ]
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Un roman de Roland C. Wagner publié en 1999.
Yeff, linguiste de son état, se rend sur Diasphine pour y poursuivre ses
études. Il est adopté par un maedre, un animal local extrêmement mignon et
affectueux qui le suit partout. Peu après son arrivée, il rencontre Clyne qui
découvre en lui le talent nécessaire pour participer au jeu de la pensée. Yeff
devient joueur de haut niveau et finit par affronter Wamkadh, un mystérieux
joueur dont le style de jeu est destructif pour ses adversaires. Yeff est
défait et perd la possibilité de ressentir les émotions. Peu de temps avant le
tournoi fatal, le maedre avait été la victime d'une tentative d'assassinat et
il ne devait qu'à sa constitution extrêmement robuste d'être toujours en vie.
Le loyal qui s'était occupé de l'enquête finit par découvrir que l'assassin du
maedre n'est autre que le mystérieux joueur qui a défait Yeff. Ce personnage
est mêlé à la Rächvid, une entreprise transplanétaire qui est aussi liée à la
destruction d'un satellite de stockage qui a été détruit, et une enquête
approfondie révèle que la transplanétaire a été liée à des actions louches sur
toutes les planètes où Wamkadh a joué. Mais le loyal est assassiné avant
d'avoir pû faire un rapport sur son enquête. Vingt ans plus tard, Yeff arrive
sur Éden, la seule planète de la galaxie humaine où la violence a encore
cours, et qui est soumise à un blocus de la part des autres planètes. Au cours
du séjour, le maedre disparait, victive d'une tentative d'assassinat de la
part de Wamkadh, et il ne doit encore une fois sa survie qu'à sa constitution.
Au cours de l'enquête qui tourne au vinaigre, Yeff rencontre une fantoma qui
se révèle être l'esprit du loyal, qui a poursuivi l'enquête au cours des vingt
dernières années sous sa forme d'entité hybride analogique-numérique. Yeff
apprend que la Rächvidd est une émanation d'Éden dont le but est de soutenir
Wamkadh ; ce dernier est l'instrument des édéniques pour faire savoir à la
galaxie qu'Éden est encore puissante et capable de conquêtes, sans pour autant
avoir la prétention de conquérir le reste de la galaxie. Yeff fomente alors un
plan dont le but est d'attirer Wamkadh sur Océan, sa planète d'origine, dont
le champ d'empathie devrait suffisamment affaiblir Wamkadh pour permettre aux
autres joueurs de le vaincre. Le jeu a finalement lieu, et Wamkadh est vaincu.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Livres/RC Wagner ]
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La saison de la sorcière est une uchronie de Roland C. Wagner publiée en
2003. Dans un monde où la guerre contre le terrorisme a poussé les Glorieux
États-Unis d'Amérique à envahir la France, des « attentats » inexplicables
se produisent : un ptérodactyle géant arrache la tour Eiffel, Big Ben fond,
Schönbrunn est transmuté en un palais de sucre, des statues de Mao se mettent
à marcher, et Godzilla détruit des navires dans le port de Yokohama. Le roman
met en scène d'une part une bande de zonards vivant en région parisienne et
d'autre part un commando américain qui chasse les sorcières à travers le monde
dans le but de créer une unité de sorciers combattants les mystérieux
terroristes. Tandis que les zonards atterissent dans l'Enclave, un quartier de
banlieue où les habitants sont bizarres et suréquipés en matériel
informatique, les américains dénichent enfin une vraie sorcière, bien plus
puissante que toutes leurs précédentes captures, qu'ils parviennent à
soumettre à leur volonté et à en faire leur arme secrète contre les
terroristes. Les zonards finissent par rencontrer la sorcière, qui a désigné
Paris comme la source des mystérieux actes terroristes, mais au lieu de les
combattre, elle subjugue les troupes américaines, s'envole sur son balais et
renvoie les envahisseurs chez eux. La sorcière se révèle être une créature des
habitants de l'enclave qui ont réussi à contrôler l'énergie magique grâce à
leurs ordinateurs, et à s'en servir à distance par Internet.
Comme tous les romans de Wagner jusqu'ici, celui-ci était agréable à lire,
mais j'ai trouvé que le coté propagandiste manquait de subtilité. À moins que
ce ne soit le fait que je suis déjà largement sensibilisé à tous les abus
qu'il met en avant et que ces derniers ne me sautent aux yeux ?
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Livres/RC Wagner ]
Le serpent déchiré de Roland C. Wagner se compose
de deux nouvelles, Le serpent d'angoisse (1987) et Le paysage déchiré
(1989).
Le serpent d'angoisse décrit les prémisses de la Terreur (ou peut-être
décrit ce qui sera plus tard utilisé comme étant les prémisse de la Terreur),
avec l'invention du Semen of God, une drogue qui permet d'entrer de plein
pied dans la psychosphère, et dont la T.T.O. (Telepathic Trips Organization)
aux États-Unis se sert pour offrir des « voyages télépathiques » à ceux qui
en ont les moyens (tandis que la majeure partie de la population vit dans des
ghettos et fomente une révolution). Les télépathes-créateurs sont capables de
manipuler la psychocsphère et d'y créer tout ce qu'ils sont capables
d'imaginer ; les personnes normales peuvent interagir avec ces créations mais
ne peuvent rien créer. La T.T.O. emploie une équipe de télépathes-créateurs
qui accompagnent ses clients dans la psychosphère et créent tout ce dont ces
derniers ont envie. Les ennuis commencent lorsque les clients se mettent à
mourir durant leurs voyages télépathiques, assassinés par un être hantant la
psychosphère, qui n'est autre que William Osterberg, l'ancien (et défunt)
associé du président de la T.T.O. D'autres personnages sont eux-aussi
prisonniers de la psychosphère : une victime d'un attentat à mi-chemin entre
la vie et la mort (narrateur à la première personne qui ressemble étrangement
au héros des derniers jours de mai),
Ricky, un rebelle torturé par la police et Guthar, un télépathe-créateur dont
la maîtresse a elle aussi été victime d'Osterberg et envoyé tendre un piège à
l'assassina. Guthar se trompe pourtant de cible, prenant tout d'abord Ricky
pour l'assassin (Ricky réussira à rejoindre son corps), puis le narrateur,
temporairement possédé par l'assassin. Pendant ce temps, dans la réalité
consensuelle (qui ne s'appelle pas encore comme ça), les rebelles ont pris le
pouvoir dans les principales villes de États-Unis et réussisent in-extremis à
empêcher l'armée de lancer une attaque simultanée à l'aide de micro-bombes
nucléaires sur toutes les villes aux mains des rebelles. Leur inconscient
collectif crée de nouvelles entités dans la psychosphère, en particulier un
serpent en train d'écraser le rêve américain dans ses anneaux. Un groupe de
rebelles détruit le siège de la T.T.O. et assassine tous ceux qui s'y
trouvent. Guthar se retrouve alors piégé dans la psychosphère, un esprit sans
corps, tandis que le narrateur retrouve le sien.
Le rideau déchiré met en scène un amnésique qui se réveille dans une chambre
d'hôpital aseptisée. Il est torturé par un médecin et un policier qui refusent
de croire à son amnésie. Sous l'effet de la douleur, il fait une brève
incursion dans la psychosphère, où il rencontre le Chasseur. Ses tortionnaires
l'envoient chez la Marquise, une femme aussi belle que cruelle et décrite
comme folle par le médecin, qui l'aide à s'évader et le baptise Chris. Durant
leur évasion, ils recueillent un chat qu'ils baptisent Fuzz, puis se réfugient
dans les Tours de la Honte, des tours de béton qui abritent des mutants
souffrant de malformations physiques. Deux mutants, Stella et Dukâ injectent
du semen of gods à Chris afin qu'il rencontre à nouveau le Chasseur.
Celui-ci lui le met en garde contre son adversaire, puis lui conseille de
sortir de la ville, au delà des murs d'enceinte, et de retrouver une de ses
amies dans un chateau. Un peu plus tard, les héros rencontrent le fameux
adversaire, qui leur apprend que le Chasseur n'est autre que Guthar, et que
lui et Chris se sont déjà rencontrés par le passé. Plus tard, à la recherche
de véhicules pour quitter la ville, la troupe rencontre deux motards,
le Baron Roux, et Manu. En compagnie de ces derniers, ils tentent de quitter
la ville, mais la topologie du lieu est telle que toutes les routes les
ramènent au même endroit. Ils comprennent alors qu'ils sont dans la
psychosphère, et que rien ne peut être considéré comme « vrai ». Sans moyent
de trouver une sortie, ils trouvent refuge dans un bordel tenu par une amie
des motards. Le bordel se transforme cependant en salle de concert, et tous
les figurants du bordel disparaissent, remplacés par des spectateurs du
concert, sauf un : il semblerait que ce soit l'adversaire. Ils s'enfuient et
arrivent au Mur, qu'ils finissent par franchir, grâce à Fuzz : le mur n'est
qu'une illusion, on peut passer à travers. Enfin sortis de la ville, ils
rejoignent alors la Dame Blanche dans son chateau. Cette dernière est
l'archétype de l'héroïne et règne sur une cour de junkies. En discutant avec
elle, Chris se rend compte que ses compagnons ne sont que des créations — du
Chasseur ou de l'adversaire, pas moyen de savoir — , tout comme l'était le
bordel et la ville d'où ils se sont enfuis. La Dame Blanche, en revanche, est
le produit de l'inconscient collectif des drogués. Le chasseur veut tendre un
piège à Chris afin de s'emparer de son corps et de pouvoir rejoindre la
réalité. L'adversaire tente de l'en empêcher. Chargé de l'énergie d'un certain
nombre d'archétypes, Chris combat le chasseur dans le Labyrinthe, et finit par
le vaincre, avec l'aide de Fuzz, de Stella et de la Marquise. Chris finit par
se réveiller dans son corps, dans la réalité, et apprend que le corps momifié
du Baron Roux est en orbite autour de la Terre sur sa moto.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Nouvel épisodes des Futurs mystères de Paris de Roland C. Wagner, Mine de
rien est une sorte de clef de voûte qui rassemble des pistes inachevées dans
les tomes précédents.
L'histoire commence par l'évasion d'Odon, le laveur de cerveaux qui avait été
arrêté quelques mois auparavant par Tem. Puis un groupe de cinq personnes est
retrouvé massacré dans une villa ; sur les murs, écrits avec le sang des
victimes, se trouvent d'une part le mot « porc » et d'autre part « Tem »
suivi d'une croix. Les soupçons se portent évidemment sur Odon, puisque
celui-ci a été par le passé un pourvoyeur d'assassins (des quidams programmés
pour tuer par lessivage des synapses), profession extrêmement rare depuis que
la violence de l'être humain a chuté de manière vertigineuse après la
Terreur. Odon fait alors enlever Tem afin de lui parler seul à seul, et engage
celui-ci pour le disculper de l'accusation. Tem, faisant équipe un Trovallec,
le disculpe assez rapidement, car les meutres ont été commis avec des armes à
feu, alors que les assassins d'Odon ont toujours utilisé des armes blanches.
La police a cependant une piste : un coup de vidphone qui a revendiqué le
crime. La police passe la région d'où l'appel a été passé au peigne fin, sans
résultat. Tem et Ramirez veulent se joindre à la police, mais ils se perdent
en chemin, et la voiture de Ramirez tombe inopinément en panne en rase
campagne. Esperant trouver de l'aide à une ferme voisine, ils tombent en fait
sur les meurtriers (aux yeux rouges) qui se font passer pour des
millénaristes. Ils manquent de se faire réduire en charpie et ne doivent leur
salut qu'à Gloria qui profite du moment pour réapparaître (c'est en fait elle
qui les a manipulés pour les mener à la ferme). La police arrive peu après,
prévenue par Gloria, par l'intermédiaire d'Eileen. Les faux millénaristes
avouent fièrement le massacre, ainsi que plusieurs dizaines d'autres
meurtres, en particulier celui d'un bouiquiniste ami de Tem, mystérieusement
assassiné au début de la série. Gloria soupçonne les assassins de tuer en
fonction de messages cachés dans les épisodes d'une série tridi à succès,
produite en sous-main par la Nakimeraï, qui semble mêlée à toutes les affaires
louches, en particulier celles qui touchent à la Psychosphère. Ordalie est
alors envoyée interroger en prison le beau-père de Ramirez, grand méchant de
Babaluma,
spécialiste de la question puisqu'il a été possedé durant vingt-cinq ans par
une entité de la Psychosphère ayant partie liée avec la technotrans en
question. Cette dernière voulait préserver une faille existant entre la
réalité consensuelle et la psychosphère, découverte dans
Babaluma et dans
Kali Yuga. Tem
rend donc visite à Kali Yuga, l'homme de Néanderthal reconstitué qui garde
jalousement une machine infernale qui concentre les émanations de la faille.
Il se fait cueillir par des cyberninjas de la Nakimeraï et s'enfuit par la
faille pour se réfugier dans la Psychosphère. Il y retrouve un certain nombre
d'archétypes qu'il avait rencontré dans Tekrock et surtout Bolgenstein
lui-même qui lui explique que la Terreur a été déclenchée d'une part par
l'accès facile aux hallucinogènes dans les années 1960 (LSD) et par la
conquête de la lune, qui ont ensemble contribué à l'unification de la
psychosphère (autrefois dispersée) et à la montée en puissance des
Yeux-Rouges, conduisant peu à peu à la Terreur. Bolgenstein remet ensuite à
Tem un manuscrit, codé, résumant ses travaux sur la Psychosphère. En même
temps, Tête-de-crane, un autre archétype rencontré dans Tekrock, va
assassiner la dernière personne qui peut être possédée par Yeux-Rouge et lui
servir de vaisseau dans la réalité consensuelle, une des pontes de la
Nakimeraï qui voulait faire évader Odon durant son procès pour le forcer à
entrer au service de la technotrans. Odon a maintenant passé un accord avec le
gouvernement Européen et devient son fournisseur officiel d'assassins
jetables, entrant ainsi directement en concurrence avec la Nakimeraï (qui a
d'ailleurs crée une partie des clones responsables des meurtres du début de
l'histoire). Finalement tout le monde se retrouve et Tem donne des
explications. Il soupçonne la télévision davantage que le LSD ou l'alunissage
en lui-même d'avoir réveillé Yeux-Rouges.
Roland C. Wagner m'avait
promis
que les rockers de Kali
Yuga auraient un
rôle à jouer dans Mine de rien, mais leur rôle est minime, dommage, je les
aimais bien. Le roman est aussi entrecoupé de commentaires sur le
Weltraumball, le football du futur qui se joue en impesanteur par des joueurs
dopés et équipés d'aides musculaires mécanisées. Ce dernier en est à ses
balbutiements, mais déjà se profile la possibilité d'une coupe du système
solaire se jouant près de Mars. La Nakimeraï freine des quatre fers contre cet
événement, parce que d'une part ses joueurs communiquent entre eux via la
psychosphère, et un éloignement de la Terre rendait le système de
communication inopérant, et d'autre part si les Terriens recommencent à
tourner les yeux vers la conquête de l'espace, la psychosphère risque de se
désintégrer à nouveau, ce que Yeux-Rouges veut éviter à tout prix.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Livres/RC Wagner ]
Un des premiers romans de Roland C. Wagner,
à en juger par la date, Les derniers jours de mai semble être un précurseur
des Futurs mystères de Paris.
L'intrigue met en scène Killer, alias Tueur, alias Théo, un junkie qui vient
juste de rentrer à Paris après sept ans d'absence. Le pays est couvert d'une
couche de brume rouge, appelée la couche de Bolgenstein et la police a peu à
peu cédé la place aux milices. Killer est un mutant, le seul à cumuler
plusieurs pouvoirs, et responsable de la mort de cinquante-mille personnes
sept ans auparavant. Manquant de peu d'être lynché, il est sauvé de justesse
par Gus, son seul ami. Ils s'enfuient par des souterrains de Paris, infestés
de rats et d'animaux issus de manipulations génétiques. Ils sauvent en chemin
Millénaire, un vieillard agé de treize ans qui est le produit de manipulations
génétiques ratées qui avaient pour but de créer une race de surhommes. Il leur
apprend que les Autorités ont l'intention de quitter la Terre à bord d'un
vaisseau spatial qui les attends en orbite. Ils sont ensuite séparés, et
Killer est attiré par un message télépathique. Il retrouve alors Nadja, la
s½ur de Gus qui avait disparu depuis des années. Nadja lui révèle qu'elle
aussi est une mutante et que c'est elle qui avait forcé Killer a laisser ses
pouvoirs se développer, menant au massacre qui le hante depuis lors. Combinant
leurs pouvoirs, Killer et Nadja se projettent dans l'espace à la recherche du
vaisseau, qui se révèle être un être vivant, désigné sous le nom de l'Orque,
et dont le métabolisme est fondé sur les éléments transuraniens et qui a un
grand besoin de præsidium, un élément qui n'existe pas à l'état naturel mais
qu'on trouve sous forme de traces dans les déchets de centrales nucléaires. En
même temps, un inspecteur de police mène l'enquête sur le retour de Killer et
se rend compte qu'il n'existe aucune trace écrite du massacre perpétré par
Killer sept ans plus tôt. Tout le monde s'en souvient, mais aucune archive
écrite ou informatisée ne le mentionne avant son retour, quelques jours
auparavant. De plus, l'apparition de Killer a mis le feu aux poudres entre les
milices et les citoyens et une guerre civile pointe son nez ; la rumeur parle
d'une tentative de prise de pouvoir par les milices. Le lendemain de leur
visite à l'Orque, Nadja et Killer sortent rejoindre Gus qui a été signalé dans
un autre quartier de Paris, et Nadja se fait tuer par deux drogués à qui on a
promis un kilo de Dragon Rouge en échange de ce service. Dragon Rouge est une
poudre rouge qui a mis en échec toute tentave d'analyse et qui est encore plus
destructrice que les autres. Gus finit par retrouver Killer, et ils partent
tous deux donner à Nadja une sépulture digne de ce nom, dans un glacier des
Alpes. Aprés l'enterrement, ils rencontrent des extra-terrestres (qui étaient
apparus quelques années auparavant et qui étudient la Terre) qui leur font un
grand nombre de révélations : l'Orque est une forme de vie qui date des
débuts de l'univers et qui a pour habitude de créer une vie intelligente sur
des planètes, poussant les habitants (au bout de quelquels millions d'années)
à fabriquer des centrales nucléaires à profusion afin de lui fournir du
Præsidium. Les habitants sont ensuite exterminés. Killer est un être crée par
l'Orque dans le but d'exterminer les terriens : il est formé de l'esprit d'un
bébé mutant mort-né et du corps d'un accroc au Dragon Rouge, et n'existait pas
avant sont prétendu retour à Paris ; tous ses souvenirs et les souvenirs des
terriens se rapportant à lui ont été crées de toutes pièces par l'Orque.
Dragon Rouge est une drogue vivante, composée d'excréments de l'Orque,
distribuée par un personnage mystérieux qui a été suscité par l'Orque, et
permet à l'Orque de surveiller ce qui se passe sur Terre à travers les yeux de
ses consommateurs. Les mutants ont été créés par l'Orque afin de cacher dans
la masse l'existence de Killer. Ce dernier, endossant le rôle de la Mort que
l'Orque a conçu pour lui, se prépare à affronter cette dernière. Il doit
malheureusement puiser dans l'énergie mentale des terriens pour anéantir son
ennemie, blayant ainsi les humains de la surface de la Terre, car tel était
le plan de l'Orque (qui n'avait cependant pas envisagé d'être tuée dans le
processus). Heureusement, les extra-terrestres montrent à Killer une faille
spatio-temporelle qui le mênera vingt ans plus tôt, et qui lui permettra de
détruire l'Orque avant que celle-ci ne le crée. Du moins l'espère-t-il. Le
roman s'achève sur une discussion où Bolgenstein prétend avoir rêvé toute
cette histoire.
Les derniers jours de mai est nettement plus déjanté que Les futurs
mystères de Paris, Killer étant à tout moment sur le point de sombrer dans la
folie. On y retrouve cependant des éléments fondateurs de la série : la
couche de Bolgenstein, Dragon Rouge et l'archétype aux yeux rouges, une
variante de la Grande Terreur, les mutants (dont le Millénaire qui n'est pas
un millénariste). La structure du roman aussi est typique, les groupes de
chapitres étant séparés par des interludes narrant une intrigue parallèle.
Et l'intrigue se déroule quarante-cinq ans après les événements de mai 68.
Wagner, révolutionnaire ?
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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At the end of Interesting Times,
Rincewing became stranded somewhere in XXXX, the Last Continent, but nobody
cared. Now that the Librarian is sick, the Faculty of Unseen University
desperately needs someone to help him and to replace him as the librarian.
They quickly think of Rincewind. While looking for a professor of Geography,
they arrived (through the bathroom window of this professor's rooms, which
opens to another place and time) on a small island where a lonely god
experiments with evolution, several thousands years before the present time.
Meanwhile, Rincewind is being told by a strange kangaroo that he must help
making rain on XXXX, where it hasn't for the past thousands of years, because
of the UU wizards. Rincewind travels through the continent, trying to escape
his forced quest, while events always push him back on track. While escaping
the Watch (he was meant to be hangged for sheep theft), he arrives in large
city where he meets the wizards of the local university of magic. Meanwhile,
in the past, the other wizards sail from the island to the Last Continent,
which is just being made by gods. With their help, he retrieves (from a cave
below a local brewery) an artifact that the god from the past should have used
for making the rain, but that was stolen by one of the wizards before the god
turned them into stone for getting finally some peace. Rincewind also
retrieves his fellow wizards from the same cave before it collapses (because
it was never meant to exist). Finally, they all sail home to Ankh-Morpork.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Fourteenth volume in the Discworld series, Lords and Ladies has been
published in 1992 by Terry Pratchett.
Lancre's three witches (Granny Weatherwax, Nanny Ogg and Magrat Garlick) are
back from their adventures abroad
just in time to notice that young wanabe witches (including Agnes Nitt) had
been dancing around a circle of stones known as “the Dancers”, which are
actually guarding a weak point in the fabric of spacetime through which elves
(also called the Lords and Ladies) have invaded the reality many centuries
ago. The two old witches decide not to tell Magrat about it, because she
thinks that elves are nice (which they are obviously not, once you get to know
them). Magrat is so upset that she decides to give up sorcery. She then
discovers that King Verence, her fiance, has already organised most of their
coming wedding, which is set to take place on midsummer's eve. Verence has
invited a party from the Unseen University, composed of Ridcully, Stibbons,
the Bursar (completely nevrotic now and under heavy dried frog pills
treatment) and the Librarian. On their way to Lancre, they also pick up
Casanunda). The has also ordered, from a famous theater company in
Ankh-Morpork, a play (which is about elves), which is going to be performed by
Lancre's Morris dancers, who decide to train on the hills, near the Dancers.
Soon enough, the elves manage to get through and to invade Lancre. The Queen
of the elves plans to marry Verence so the people will have to accept her as
queen. While Granny gets lots in the forest with Ridcully (her first and only
love, but that was a very long time ago), Nanny goes with Casanunda to visit
the King of the elves to tell him what his wife has been recently up to, in
the hope that he would do something against it. In the meantime, Magrat is
alone in the castle with Shaws Ogg, its only guard (all the guests of the
wedding went to see the play, but were hypnotised by the elves, only Magrat
stayed at the castle because she was upset not to have been told about the
elves). There is one elf in the castle (who was in a cell but managed to
escape) and Magrat is trying to escape him. She finally ends up in the
armoury, where she finds the armor of queen Ynci, the only queen of Lancre who
was a warrior and not spending here time waving at people and doing tapestry.
Magrat wears the armor and becomes another person. She manages to fight some
of the elves. Finally, all the protagonists meet near the forest, where she
tries to humiliate Granny. Granny seems to die under the attack of the Queen,
just before the King of the elves arrives and make all the elves vanish.
Everybody wakes up, except Granny. Nanny understant soon that Granny didn't
actually die but managed to “borrow” a swarm of bees (she had done it
earlier with single animals, but never managed to do it with bees), so that
the Queen would not find her mind. Granny finally wakes up, Verence and Magrat
get married, and everything is well that ends well.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Informatique ]
I wrote yesterday two small patches for Snownews 1.5.7. The first one adds
support for the <content:encoded> tag (if such an element is present in the
feed, it supersedes the <description> element). The second one fixes a bug
that replaces <br> and <p> in the wrong place. Additionaly, it also
inserts a newline when a <div> is found.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Informatique ]
Here's a more compact, less readable version of the
scramble
function:
sub scramble {
return $_[0] if $_[0] =˜ /ˆ[A-Z]/;
my @l = split //,$_[0];
@l[1..$#l-1] =
sort { rand(1) < 0.5 ? -1 : 1 } @l[1..$#l-1];
return join("", @l);
}
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Informatique ]
J'ai ajouté aujourd'hui des liens automatiques vers Google Translation afin
que les lecteurs qui ne maîtrisent pas la langue de Shakesière (ou Molipeare,
c'est selon) puissent avoir une idée de quoi je parle. J'en suis très fier,
car chacun de ces liens offre une source quasi-inépuisable de fou-rire. Voici
en particulier celui qui vient de me faire hurler de
rire.
La traduction automatique est vraiment un outil formidable, on ne s'en lasse
jamais.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Informatique ]
When I record a TV show on Finnish DigiTV, I get an MPEG TS file containing
interleaved audio and video streams (as well as a subtitle stream if the TV
channel uses them). Removing the commercials or even simply the five minutes
padding at the beginning and the end is not completely straightforward, but
can be done quickly with some simple tools.
editmpegts
is
a command line tool I wrote that takes an MPEG TS stream and an edit list (in
MPlayer's EDL format), specifying the time
positions of commercial breaks and cuts the MPEG TS into slices to keep only
the interesting part of the recording. I then transcode the slices
individually, and contatenate them with avimerge
.
There are however a couple of pitfalls if you want to use mencoder
to
transcode the slices into e.g., XviD+MP3, since the MPEG 2 video decoder
resets every time the aspect ratio of the video changes. When doing 2-pass
encoding, this means that the stats gathered before the change of aspect ratio
will be lost, resulting in miscalculated bitrate and far too big output files
(at least in the old, overpatched version of MPlayer I'm using).
mencoder
reacts on two things: the change of the value in the aspect ratio
field in the MPEG sequence header, and the presence of an “End of Sequence
Marker”. editmpegts
forces all the aspect ratio flags to the same value,
and simply suppresses the marker by overwriting it with the data that precedes
in within one TS packet. It is all done in one pass, no need to demultiplex
and remultiplex the stream (but it does copy the data into a new output file,
it doesn't therefore modify the input file).
The MPEG TS streams broadcast by SubTV contain loads of sequence headers but
very few end of sequence markers. My understanding is that every sequence
(starting with a sequence header) should end with an end of sequence marker,
so SubTV's streams are illegal. But I may be wrong. Anyway, it works fine
with MPlayer (and now with mencoder
too), so who cares?
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Jeux ]
After some amount of thinking, I decided to remake Dan Rosewater's Guild of
Thieves
in a way I consider more in the spirit of the game. I also re-made his
Hospital
and his Trader
according to my understanding
of the game and in higher resolution, with a proper background text. Printing at 300 dpi
should provide a card of the right size.
The Alternate Guild of Thieves
In this alternate version of the Guild of Thieves, the player can trade one or
two of his prestige points for one resource or two coins, depending on the
variant of the card that is used. The resource or the denier are not stolen
from another player, but taken in the common pool. The idea is that theft is
bad, therefore it costs one prestige point (and founding the Guild of Thieves
is twice as bad, hence the negative prestige points for building it). Players
can decide to use either one of the variants, or have both in the game, but
once one is built, the other cannot be built anymore.
Here is also the source file
in XCF format (Gimp's own format).
The Hospice
The Hospice is a replacement for Dan's Hospital. The design of the card is
the same, but the Hospice can be used for trading one resource or two deniers
for two points of prestige. In addition to Dan's design, the builder of the
Hospice also gains a favour as well as the ten prestige points. The idea here
is that the Hospice relies on donations, which are used for taking care of the
poor, the elder, the orphans etc. Helping these people is increasing the
donator's prestige.
Here is also the source file
in XCF format (Gimp's own format).
The Trader
The Trader is the same as Dan's original design, but in higher resolution.
Here is also the source file
in XCF format (Gimp's own format).
Card Backs
Here is a copy of the back of the cards, if you want cards that look good from
the back too ;) (and the source file as well).
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Jeux ]
© BoardGameGeek.com
I've been thinking about expanding Caylus by creating new buildings. I've
alread made an updated version of Dan Rosewater's guild of thieves
and I've considered making more of them, maybe updating Dan's other creations,
the Hospital
and the Royal Luxury Tailor.
I've made a table showing what buildings allow to change what item for which
other one (e.g., the Bank changes money into gold). Basically, only Prestige
Points and Favours as a target for change are not very well represented (you
can get Favours only by going to the joust field and paying one cloth unit and
one denier, while Prestige points can be obtained against cloth, gold or one
denier at the taylor's, the jeweller's or the church, respectively.
Thus you can't get prestige or favours in exchange for food, wood or stone.
Moreover, prestige is obtained when developing the city (that's in the
rules'introduction) and favours seem to be gained when adding culture
(theater, statue, monument), teaching (library, university) or entertainment
(theater). Favours are very powerful and should not be obtainable just at the
cost of one worker.
Therefore I think that the Royal Luxury Taylor as such doesn't fit in the
game, since it brings prestige against nothing but one worker, while the
Hospital should be renamed Hospice (there was no hospitals in 1289 I think),
and bring prestige against one resource (except gold) plus one denier.
Hospices where institutins relying on charity for existing, so this makes
sense to me.
Now, what would bring Prestige in exchange for food, wood or stone? I thought
about the cook for food, the cabinetmaker for wood and the sculptor for stone?
The exchange rates have yet to be defined, but I have to keep in mind that
food is the easiest to come by, then cloth, then wood and then stone (but this
should be studied more in details, because it depends on the number or
workers you are ready to invest the the resource gathering process).
Finally, Favours should not easily be obtainable from resources; the joust
field and the hospital should remain exceptions.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Jeux ]
J'ai rajouté une option « pas-à-pas » à mon résolveur de
Sudoku,suite à la demande de
mon (probablement) unique utilisateur.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Jeux ]
Jonathan Wu made a new tile for Caylus: the Black Market,
following Dan Rosewater's lead on “evil” tiles with his Guild of
Thieves.
So with my usual lack of imagination
and pickiness about details, I made my own version, with a proper,
multilingual background. Here's also the source
file in XCF
format (Gimp's own format).
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Cuisine ]
Sain idean tähän herkkuun Hervé Thisin kirjoista.
Ainekset
- 80 mL vettä
- 130 g Aura-juustoa (ei Aura 17%)
- 0,5g liivatetta (1/4 liivatelehteä)
- jääpaloja (paljon)
Valmistaminen
© Valio.fi
Laita liivate likoamaan kylmään veteen 5 minuutiksi. Purista ylimääränen vesi
käsin pois. Laita vesi kattilaan ja kiehauta se. Laita sitten liivate veteen
ja sekoita. Lisää pieni määrä Aura-juustoa veteen ja sekoita kunnes se sulaa.
Sulata samalla tavalla koko juusto. Seoksen pitää olla koostumukseltaan
kuohukerman kaltaista. Siirrä sitten kattila jääpalojen päälle ja
vatkaa kunnes seoksesta tulee vaahtoa.
Jos vaahto on liian paksua, laita kattila takaisin hellalle, anna seoksen
sulaa, lisää teelusikallinen vettä, siirrä takaisin jääpalojen päälle ja
vatkaa uudelleen.
Jos seoksesta ei tule vaahtoa, laita kattila takaisin hellalle, lisää pieni
määrä juustoa, anna sulaa kunnes se on hyvin juoksevaa, siirrä takaisin
jääpalojen päälle ja vatkaa.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Cuisine ]
Nouvel essai de sphérification inverse, avec
cette fois-ci du citrate de calcium au lieu du chlorure.
J'ai dissout 2,4 g de citrate (iii) de calcium dans 200g d'eau, et le goût
était neutre et non crayeux. À 3,0 g, la sensation crayeuse est apparue
légèrement, j'en suis donc resté à 3 g. J'ai ensuite ajouté 25 g de sucre
glace, 0,4 g de gomme xanthane et 1,3 g de gomme de guar, et là le mélange
est tout de suite devenu plus nettement crayeux. À qui la faute ?
Ensuite la sphérification proprement dite ne s'est pas très bien passée, j'ai
plutôt obtenu un disquification… Le mélange n'était probablement pas assez
visqueux pour rester en boule ? Ou alors le manque de calcium dans le mélange
(environ deux fois moins que lors de ma première expérience, où j'avais mis 4 g
de chlorure de calcium) a ralenti la prise du gel et permis au mélange de
s'applatir une fois versé dans la solution d'alginate. Aussi, la première fois
j'avais 25 g de sirop de glucose et beaucoup plus de sucre, ce qui a du avoir
une influence notable sur la viscosité.
Bref, les galets sont au congélateur, on verra demain pour l'enrobage.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Traduction: [ Google | Babelfish ]
Catégories : [ Cuisine ]
There's an old Alsacian joke going like this:
“Chocolate is good, and garlic
is good. How good is then chocolate with garlic?”
When Martin at khymos.org organized the first They
Go Really Well Together
event suggesting to compose a recipe blending chocolate, coffee and garlic, I
couldn't of course resist. So I decided to adapt Hervé This' Chocolate
Mayonnaise,
using coffee instead of water and adding a hint of garlic.
Ingredients
- 130 g dark chocolate
- 50 mL strong coffee
- 1 tsp. dried garlic
- 1 egg yolk
- 1 pinch salt
Preparation
Melt the chocolate in the microwave oven. Let it cool down a bit (we don't
want to cook the egg yolk!).
Mix the egg yolk with the salt for about thirty seconds with a spoon. Add one
tsp. coffee and mix again. Add the chocolate, one bit at a time and mix
continuously. Once it gets the consistency of mayonnaise, you can switch to
using an electric whip. The preparation will thicken the more you add
chocolate and the more the chocolate cools down. To keep the right texture,
add one tsp. of coffee when it becomes too thick. Don't add too much coffee at
a time, otherwise the preparation may loose its texture and become liquid. If
it cools down too much and becomes difficult to mix, heat it in the microwave
for about 8-10 seconds and mix well.
Once all the chocolate has been incorporated and the right texture has been
found, grind the garlic in a mortar and add garlic, bit by bit until the taste
of garlic becomes perceptible, but before it becomes dominating.
Comment
The mayonnaise first tastes strongly of chocolate, then develops the
characteristic sharpness of garlic immediately followed by a definitive taste
of garlic that lingers in the mouth along with the sweetness of the chocolate.
After a couple of minutes, the taste (and slight bitterness) of coffee
appears in the mouth, whereas the garlic is wearing off.
Is it good or not? Well, I think it is interesting although very unusual, but
my wife hates it.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Traduction: [ Google ]
Catégories : [ Cuisine ]
Valkoisessa suklaassa on kaakaovoita, sokeria ja mahdollisesti maitoa. Siinä
ei ole kaakaojauhoa, sen takia se on valkoista. Se siis ei ole oikeaa suklaata.
Choco Noursyn
tekemistä varten olen ostanut valkoista suklaata, Pandan (P) ja Fazerin (F).
Sulatin molemmat mikrossa ja vertasin niitä tänään:
- F on paljon makeampaa kuin P, se oli ällömakeaa.
- P:ssä on enemmän maitoa kuin F:ssä, sen huomaa mausta. P:ssä on siis enemmän
proteiinia.
- P on vähän enemmän vaniljanmakuinen kuin F.
Yritin parantaa niitä lisäämällä kaakaojauhoa; se toimi aika hyvin P:n kanssa,
mutta ei niin hyvin F:n kanssa, joka oli aina vaan ällömakeeta.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Cuisine ]
J'ai terminé hier de préparer les volcans chocolats à l'orange
bleue.
Comme prévu, les boules étaient plutôt des galets, et l'enrobage au chocolat
additioné de beurre s'est révélé plutôt sportif : le chocolat fondu avait
tendance à glisser sur la surface gelée des galets quand on les trempait dans
le chocolat, donc il a fallu les couvrir en versant du chocolat par dessus,
mais le chocolat coulait à travers la grille et se solidifiait autour des
fils. Il fallait ensuite les retourner et recouvrir de chocolat l'autre coté,
sans casser le galet ni la première couche de chocolat. Bref, un beau bazar.
J'ai finalement réussi à en faire dix, ce qui était juste suffisant pour
servir les convives (on était neuf en comptant Emma).
La prochaine fois, je… En fait, il n'y aura pas de prochaine fois. Du moins,
pas prochainement.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Cuisine/Crème au chocolat ]
Ingrédients
- 60g chocolat 85%
- 70g sucre
- 1c. à soupe sucre vanillé
- 5dL lait
- 2,2g gomme de Konjac
Préparation
Faire fondre le chocolat au micro-ondes avec un peut de lait, puis ajouter le
reste du lait, froid, peu à peu tout en mixant avec un mixer plongeant.
Mélanger à sec le sucre et la gomme de konjac. Verser le mélange en pluie tout
en mixant, ajouter le sucre vanillé et continuer de mixer.
Laisser reposer au frais pendant une demi-heure
Remarques
- Le mélange épaissit en reposant
- La consistance sur la langue est plus agréable que la gomme de
Tara. Pas
gluant ni astringent. La quantité et le type de chocolat est peut-être en
partie responsable, de même que la quantité de sucre.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Cuisine ]
Le calcium en solution c'est amer (et astringeant, je dirais). J'ai essayé de
trouver une concentration de Ca2+ qui soit raisonnablement peu perceptible
pour la sphérification inverse,
et j'ai trouvé que, dans 200g d'eau, 50g de crème fluide et 25g de sucre glace:
- 2g de CaCl2 sont peu perceptibles
- 3g sont nettement plus perceptibles, et l'ajout de 50g de sucre glace peine
à en masquer l'amertume.
J'avais aussi goûté une solution eau+sucre+calcium (2g) et elle me semblait
plus amère après ajout de xanthane (0,4g) et de guar (1,3g), mais j'ai
peut-être rêvé.
L'influence de mon arôme d'orange liquide est difficile à mesurer, pur il
semble amer, mais une goutte sur le doigt qu'on laisse sécher un instant n'est
pas si amère. Il contient de l'alcool comme solvant, est-ce que ça a une
influence ? Le fait qu'il était bon jusqu'en novembre 2004 a peut-être un
rôle à jouer aussi…
Un peu plus tard: une forte addition de sel masque l'amertume, mais
évidemment, c'est trop salé.
Encore plus tard: le citrate III de calcium n'a pas de goût amer, j'en ai
goûté un peu. Je devrais pouvoir l'utiliser dans cette recette, en espérant
qu'il ne donne pas de consistance crayeuse au mélange.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:05 |
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Catégories : [ Cuisine ]
Ce soir je viens d'essayer la même recette qu'hier,
mais avec du citrate de calcium à la place du chlorure de calcium. La
différence est flagrante : même avec peu de sucre (25 g de saccharose), on ne
sent pas le goût amer du calcium. Est-ce que le citrate maintient les
Ca2+ prisonniers et la langue ne peut pas les percevoir ?
En revanche, on a l'impression que le mélange a été assaisonné à la craie
broyée, c'est assez moyen (mais moins mauvais que le goût amer, il faut dire
ce qui est). Je viens de lire que le citrate de calcium n'est plus soluble au
delà de 9g/L, ce qui veut dire qu'avec mes 4g/250mL, j'ai largement dépassé la
dose, ce qui peut expliquer la sensation en bouche. Grmbl.
[ Posté le 28 août 2008 à 00:03 |
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