Monday, September 4th, 2006
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Categories: [ Books/Comics ]
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Histoire en deux volumes de Gibrat, Le vol du corbeau commence à Paris en
1944 et met en scène Jeanne, arrêtée sur dénonciation de marché noir, et chez
qui on retrouve des armes et des faux papiers destinés à sa s½ur. Elle
rencontre François, arrêté pour cambriolage, qui l'aide à s'évader par les
toits, profitant du remue-ménage crée par une alerte aérienne. Jeanne se foule
la cheville en sautant d'un toit, et François l'emmène se cacher sur
l'Himalaya, une péniche appartenant à une famille de ses amis. Jeanne est
inquiète du sort de sa s½ur, elle aussi dans la résistance, qui est sûrement
déjà la cible de la Gestapo. Le fils de la famille se porte volontaire pour
aller jeter un ½il à l'appartement de Cécile, et se fait cueillir par des
allemands. Il leur fausse compagnie, mais Jeanne est persuadée que sa s½ur est
déjà prisonnière. Jeanne contacte alors Michel, le troisième membre de sa
cellule ex-fiancé, mais il ne sait rien de Cécile non plus. Toute la troupe
quitte Paris en péniche, mais les allemands les attendent à la prochaine
écluse. Jeanne se chache dans le puit de chaîne de l'ancre.
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Les allemands ont réquisitionné la péniche pour aller chercher un chargement
quelconque et ont laissé un planton à bord. Jeanne repart à Paris avec
François, sur une moto que ce dernier a volé la nuit précédente. Jeanne va
alors laisser un message à Cécile dans la boite aux lettres secrète utilisée par sa
cellule, un livre d'occasion dans une librairie. Ils décident alors de
cambrioler le bureau du procureur qui a inculpé Cécile. Afin d'identifier ce
dernier, François interroge le commissaire qui les avait arrêtés au début de
leur aventure. Ce dernier n'étant pas très amis avec l'envahisseur est prêt à
les aider. Revenue sur la péniche, Jeanne manque de se faire arrêter par la
milice et ne doit son salut qu'au soldat qui monte la garde sur la péniche.
Mais ce dernier veut abuser d'elle et elle le tue avec son propre fusil. Peu
après, la péniche se fait mitrailler par des avions anglais, et l'allemand se
retrouve avec des blessures supplémentaires, qui permettent de cacher la cause
exacte de sa mort. Le corps se fait emmener en ambulance avec les
propriétaires de la péniche dont la femme est sur le point d'accoucher. Le
soir, François part cambrioler le procureur. Tandis que Jeanne attend son
retour sur la péniche, Cécile fait son apparition, grâce au message que sa
s½ur lui avait laissé. Le commissaire arrive un peu plus tard leur annoncer
que François s'est fait prendre. Jeanne et lui essayent alors de le faire
évader, mais c'est peine perdue et il se fait déporter peu de temps avant que
les alliés ne libèrent Paris. L'histoire se termine sur un échange de lettres
entre Jeanne et Cécile, et sur des images qui suggèrent que François s'est
évadé de son camp de prisonniers.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:37 |
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Categories: [ Cooking ]
D'après Hervé This, l'½uf dur parfait doit être préparé comme suit:
- percer le gros bout de la coquille pour que la poche d'air puisse se vider
en se dilatant plutôt que de faire craquer la coquille,
- saler l'eau de cuisson pour donner du goût au blanc (le sel traverse la
coquille),
- cuire à une température légèrement supérieure à 68 °C (le blanc coagule à
62 °C, le jaune à 68 °C).
Le trou dans la coquille fait effectivement son office, mais les températures
de cuisson sont contredites par l'expérience : après 35 minutes de cuisson à
70 – 72 °C (je ne peux pas faire plus précisément avec ma plaque électrique),
le jaune est cuit (ou tout du moins solidifié) alors que le blanc est encore
liquide (bien que plus épais qu'un blanc cru). En revanche, 60 minutes de
cuisson à 88 °C (erreur de manipulation, j'ai laissé le couvercle sur la
casserole et j'étais distrait) conduisent à un ½uf trop cuit (le jaune est
entouré d'une pellicule verte, la coquille se détache mal).
Comment se fait-il que le jaune cuise avant le blanc ? Mon jaune était solide
mais était-il cuit ? Combien de temps faut-il laisser l'½uf dans l'eau à
72 °C ? Est-ce que 72 °C est une température suffisante ?
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:36 |
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Categories: [ Beer/Okell's ]
« A light coloured beer with a full bodied tasete, the sweetness is offset by
a strong hopping rate. This gives the finished beer an over all roundness with
very spicy lemony notes and a fine dry finnish to counteract the initial
sweetness. »
A quite fruity smell (apple? not really, but I can't put a name on it). Not
too bitter.
Okell's Ltd, Kewaigue, Douglas, Isle of Man. 4.5% alcohol.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:35 |
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Categories: [ Beer/Shepherd Neame ]
« Pure, fresh water from an ancient artesian well, the finest Kentish hops
and malted barley combine to make this distinctive, typically Kentish, ale. »
Quite bitter, with a taste of… well, ale. I can't put a descriptive name
on its taste. I didn't like it that much, actually.
Shepherd Neame, Faversham, Kent, England. 4% alcohol
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:35 |
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Categories: [ Cooking | Books/Herve This ]
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Mon troisième livre de chimie culinaire par Hervé This (il préfère le titre de
« gastronomie moléculaire », mais je trouve que chimie culinaire est plus
parlant). Dans ce livre, comme d'habitude pas de recette, mais des
explications simples et claires sur les réactions physico-chimiques qui ont
lieu lorsqu'on fait la cuisine. Il explore d'abord comment moderniser l'art
culinaire en faisant la chasse aux dictons culinaires sans fondement
scientifique, en utilisant de nouveaux outils qui sont pour l'instant
cantonnés aux laboratoire de chimie, puis le caractéristiques des préparations
qui influencent le goût, en insistant particulièrement sur la texture des
aliments. La deuxième partie est plus pratique, étudiant le bouillon, la
tendreté, les gels et les mousses, le gonflement. Le livre se termine par un
menu commenté, en insistant sur les particularités physico-chimiques des
plats.
Ce que j'en ai retenu, ce sont des idées telles que la mayonnaise au chocolat,
un gâteau de chocolat (qui ne contient que du chocolat et un blanc d'½uf), des
explications plus détaillées que dans ses précédents livres sur le chocolat
chantilly et une mention des additifs alimentaires tels que les carraghénanes
pour créer des textures nouvelles. Mais tout ce chocolat me pèse un peu sur
l'extomac…
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:34 |
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Categories: [ Books/Comics/Largo Winch ]
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Quatorzième volume des aventures de Largo Winch, La loi du dollar est la
suite et fin du Prix de l'argent.
Largo Winch échappe au sherif, se fait passer pour un comptable du groupe W
chargé d'auditer les comptes de Speed One pour y trouver la preuve de
malversations. Il réussit à enregister une conversation entre les deux
personnes qui l'ont fait accuser et transmet l'enregistrement aux autorités.
Il découvre ensuite que Dennis Tarrant était atteint d'un cancer avancé et que
son suicide en direct à la TV avait pour but d'extorquer de l'argent à Largo
Winch au travers d'un procès. Finalement tout rentre dans l'ordre, l'usine
Tarrant est remise sur pieds et tout est bien qui finit bien.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:34 |
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Categories: [ Books/Comics/Survivaure ]
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Knarf, a l'instar de son pote
POC, a lancé une saga parodique et déjantée en
MP3, Les aventuriers du Survivaure.
Le premier volume de la BD tirée de la saga met en scène l'équipage
minimaliste du vaisseau spatial Survivaure qui, bien que sa place soit à la
casse, est la dernière chance pour la Terre de repousser l'invasion des
Krygonites, grâce à l'hillarium lourd que les héros doivent rapporter d'une
lointaine planète. L'histoire est un enchaînement de gags à l'humour
douteux : le droïde traducteur ne parle que le binaire, nécéssitant un
traducteur, le second se retrouve dans un sas en cherchant les toilettes, le
capitaine doit lire dix-mille phrases sana queue ni tête avant que
l'ordinateur ne puisse reconnaître sa voix, trois krygonites infiltrés à bord
du vaisseau meurent littéralement de rire en voyant que le second s'est pissé
dessus, le repas est excellent (le recycleur d'excréments fait des miracles),
et l'histoire se termine sur un accident de téléporteur qui fait apparaître le
nain du Donjon de Naheulbeuk.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:34 |
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Categories: [ Books/Comics/Troy ]
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Neuvième volume de Trolls de Troy, Les prisonniers du Darshan conte les
aventures d'une famille de trolls dont les plus jeunes enfants ont été enlevés
par des Darshanides. Teträm, Waha, Pröfy, Gnondpom et Tyneth traversent le monde
(et surtout l'océan) pour aller les sauver. Ils sont accueillis par une tribu
de trolls blancs qui tentent de livrer nos héros au gouverneur local (ils sont
en fait enchantés et au pouvoir de la femme du gouverneur). Gnondpom, Teträm
et Profy sont enchantés, Waha s'échappe avec Tyneth. Waha est faite
prisonnière à son tour mais réussit à s'échapper. Elle assassine le
gouverneur et part à la recherche de sa famille. L'épisode se termine sur Waha
et Gnondpom prisonniers dans les caves du palais, Teträm et Pröfy sur le point
d'être sacrifiés et Tyneth devenue disciple d'un troll-blanc-ermite-shaolin.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:34 |
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Categories: [ Books/Comics/Midi minuit ]
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Quatrième tome des Arcanes du Midi-Minuit, L'affaire du oungan commence
par un meurtre commis par un ingénieur des mines décédé depuis plusieurs
années. L'enquête se poursuit dans une ville minière que la plupart des
habitants ont fuit. La dernière mine en exploitation est sur le point de
fermer. L'enquête révèle qu'elle est exploitée par des mineurs morts-vivants
(victimes de vaudou). Les soupçons se portent sur un ingénieur qui a voyagé
dans des pays pratiquant le vaudou, mais les véritables coupables sont la
femme du propriétaire de la mine et son amant, le docteur de la ville.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:34 |
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Categories: [ Cooking ]
Hervé This suggère une mayonnaise au chocolat en remplaçant l'huile par du
chocolat fondu.
J'ai mélangé un peu de jus d'orange avec un jaune d'½uf, puis battu au fouet
électrique tout en rajoutant le chocolat fondu peu à peu (une cuillère à café
à la fois). Le résultat est suprenant : on obtient une texture de mayonnaise
avec un goût de chocolat à l'orange.
La préparation fige au froid (le beurre de cacao étant solide à température
ambiante, au contraire de l'huile qui est liquide), elle fige peut-être aussi
à température ambiante.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:33 |
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Categories: [ Cooking ]
J'ai expérimenté cette recette de gingembre confit.
Le résultat n'est pas optimal, mais qu'est-ce que c'est bon !
Ingrédients
- 500g de gingembre frais
- 800g de sucre en poudre
- 500mL d'eau
- jus de citron
Préparation
Peler le gingembre et le découper en tranches de 5mm d'épaisseur. Découper
perpendiculairement aux fibres.
Laisser les tranches tremper dans l'eau froide additionnée de jus de citron
pendant une heure.
Égouter le gingembre et le placer dans une casserole d'eau froide additionnée
de jus de citron. Faire bouillir cinq minutes. Changer l'eau et faire bouillir
une deuxième fois, changer l'eau et refaire bouillir une troisième fois.
Égouter.
Verser le sucre et l'eau dans une casserole et faire bouillir jusqu'à
atteindre une température de 105 °C (« grand Perlé ou soufflé » ou
« nappé », 33° Baumé, densité 1,295 ou 1,2964). Verser le sirop sur le
gingembre. Couvrir et laisser reposer douze heures.
Égouter le gingembre, faire bouillir le sirop jusqu'à atteindre une
température de 105 °C (environ dix minutes) et le verser sur le gingembre.
Couvrir et laisser reposer deux jours.
Faire bouillir le sirop et le gingembre ensemble jusqu'à atteindre une
température de 105| °C (environ cinq minutes). Couvrir et laisser reposer
trois jours.
Égoutter le gingembre et le placer sur une feuille de papier sulfurisé.
Laisser sécher pendant trois jours. Mettre le sirop en bouteille et conserver
au réfrigérateur.
Commentaires
- Le jus de citron empêche le gingembre d'oxyder et de noircir. J'en ai mis
dans la première eau de trempage et dans la première eau de bouillon, et il
n'a pas oxydé (le gingembre se serait-il oxydé sans citron du tout ?)
- Le goût est encore assez fort. On aurait pû faire bouillir le gingembre une
fois de plus au début de la préparation, voire deux.
- Le fond du sirop en bouteille au réfrigérateur a un peu cristallisé. Du citron
aurait peut-être empêché la cristalliation (quelle est la quantité nécessaire ?).
- La recette originale n'est pas claire : est-il nécessaire de laisser
reposer durant trois jours après la dernière cuisson, ou bient peut-on mettre
à sécher immédiatement ? Pour vérifier, j'ai
sorti un échantillon du sirop au bout d'environ dix-huit heures (pas
immédiatement, donc). Le résultat est peut-être un peu plus tendre si on
laisse reposer trois jours ; c'est difficile à dire car la qualité des
morceaux de gingembre confit dépend de la qualité du gingembre frais et de la
position du morceau dans le rhizome (les extrémités sont plus jeunes donc plus
tendres que le reste).
- Les morceaux de gingembre secs sont couvert d'une pellicule blanche de sucre
cristallisé. Comment éviter ça ? En rinçant les morceaux à l'eau avant de les
placer à sécher ?
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:33 |
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Categories: [ Cooking ]
J'ai acheté un mélange de carraghanes (E407, gélifiant) et de farine de
caroube (E 410, épaississant). Dissous dans de l'eau froide, le mélange forme
une bouillie épaisse. Lorsqu'on chauffe à plus de 70 °C, les carraghanes
s'hydratent et on obtient une solution fluide qui gélifie en refroidissant,
formant un gel souple. Le gel redevient liquide si on le chauffe au
delà de 50 °C.
Expériences :
- 4g (2 à 3 c. à café) dans 500 mL de thé chaud (70 °C). Le mélange se
dissout mal, gélifie instantanément en grumeaux. Filtrer au filtre à café ne
fonctionne pas, le gel bouche les pores et le mélange refroidit plus vite
qu'il n'est filtré. Aprés un filtrage au tamis et refroidissement, on obtient
un gel de thé souple mais suffisamment solide pour être pris dans la main. Je
l'ai passé au mixer girafe, j'ai obtenu une texture étrange, comme un coulis.
Si on le laisse reposer, il reforme un gel, plus souple et moins « lisse »
qu'au départ ; un peu de liquide surnage.
- 2 c. à café dans 125 mL d'eau plus du « sel minéral » (moitié NaCl, moitié
KCl) donne un gel très ferme (les ions potassiums font gélifier les
carraghénanes plus fermement). Mon sel a-t-il vraiment joué un rôle, ou bien
la consistance est-elle due uniquement à la concentration en gélifiant ? La
solution a eu l'air de gélifier instantanément en surface lorsque j'y ai
saupoudré le sel. Après passage au micro-ondes, j'ai obtenu à nouveau un
liquide, qui a à nouveau gélifié en refroidissant. On peut manipuler le gel.
- 1 c. à café dans 250 mL d'eau froide dans laquelle j'ai délayé un demi cube
de bouillon de boeuf. J'ai fait bouillir au micro-ondes, interrompant une fois
pour mélanger à la cuillère. En refroidissant, on obtient un gel très fondant,
presque liquide.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:33 |
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Categories: [ Cooking ]
Hervé This suggère un gâteau de chocolat comme suit:
- préparer une « mayonnaise » de chocolat avec un blanc d'½uf (pas un jaune,
mais bien un blanc) et du chocolat fondu (environ 150 g) en fouettant le blanc
d'½uf et en ajoutant le chocolat peut à peu. On obtient effectivement une
émulsion similaire à une mayonnaise.
- faire chauffer au micro-ondes. 90 secondes à 900 watts suffisent, un peu
moins aurait été mieux (le chocolat a une odeur que j'associe au chocolat
brûlé, obtenu en faisant fondre du chocolat à la casserole et en chauffant
trop fort).
On obtient effectivement une texture de gâteau. Lorsque le chocolat est encore
liquide, on a l'impression étrange de manger du gâteau au chocolat impregné de
chocolat fondu.
[ Posted on September 4th, 2006 at 09:33 |
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