Since I had an increasing amount of spam going through my spam filter, I
decided in mid-December to block all comments until I come up with a better
solution. From now on, sending comments is possible again, but the content
will not be displayed immediately if it contains any URL, or if an URL has been input
into the the URL field.
De plus en plus de spam parvenait à se faufiler à travers mon filtre à spam,
j'avais donc décidé à la mi-décembre d'interdire les commentaires jusqu'à ce
que je trouve une meilleure solution. À partir de maintenant il est à nouveau
possible de poster des commentaires, mais le contenu n'en sera pas affiché
immédiatement s'il comporte des URL, ou si une URL a été saisie dans le champ URL.
Joulukuun puolivälissä estin blogin kommentit, koska sain liikaa
roskapostia suodattimesta huolimatta. Nyt on taas mahdollista lähettää
kommentteja, mutta niiden sisältö ei näy heti, jos kommentissa tai sen
URL-kentässä on linkkejä.
Le Nutella contient 6.5% de protéines, 57% de glucides et 31% de lipides. On
sait aussi qu'il est composé de sucre, d'huile, de noisettes (13%), de cacao
dégraissé (7,4%), de lait (6,6%), de lactosérum et de graisse solide.
Enfin, Fineli donne la
composition de divers aliments, on trouve donc les informations suivantes:
En outre, mon cacao en poudre contient 24,5% protéines, 11% glucides et 21,7%
lipides.
De toute cela on peut déduire que le Nutella est composé de:
sucre: 46%
huile: 15%
noisettes: 13%
cacao: 7,4%
lait: 6,6%
lactorsérum: 6%
graisse: 6%
L'erreur relative par rapport aux valeurs annoncées du Nutella est de 0,2%
pour les protéines, 0,4% pour les glucides et 1,2% pour les lipides.
Vers un nouveau Choco-Noursy
Mon chocolat au lait contient déjà du sucre, du lait (14%), du cacao (30%) et
du beurre de cacao (30% environ), plus les lécithines et l'arôme de vanille
qui entrent aussi dans la composition du Nutella.
Voici donc la composition théorique du Choco-Noursy à base de chocolat au lait:
sucre: 38%
huile: 18%
chocolat: 20%
noisettes: 13%
lait en poudre: 10%
cacao: 1%
Ce qui donne une composition nutritionnelle de 6,5% protéines, 57,4% glucides
et 32,6% lipides, ce qui est relativement proche de celle du Nutella.
Le sucre du Nutella est apporté sous forme de sucre et de sirop de glucose,
donc il faut peut-être essayer d'apporter le sucre sous forme de sirop plutôt
que sous forme de cristaux (qui ne se dissolveraient pas facilement dans
l'huile ou le chocolat fondu). La densité du sirop de sucre devra être
déterminée par l'expérimentation.
Composition nutritionnelle des précédents Choco-Noursy
La version 4 contient 6% de protéines, 40% de glucides et 31% de lipides (1915
kJ/100g). Elle était donc tout aussi grasse que le Nutella, mais moins sucrée.
La version 5 contient 9% de protéines, 28% de glucides et 41% de lipides (2110
kJ/100g). Elle est donc nettement moins sucrée que le Nutella, mais beaucoup
plus grasse.
“Judging by how you talk you are probably from north Jersey, New York City,
Connecticut or Rhode Island. Chances are, if you are from New York City (and
not those other places) people would probably be able to tell if they actually
heard you speak.”
Carcassonne est un jeu de société où les joueurs construisent une carte en
assemblant des carreaux tirés au hasard représentant des parties de ville, de
route, de champ et des monastères. Le jeu dispose de plusieurs extensions
(hors de prix comparées au jeu de base), mais aussi de deux extensions
gratuites à fabriquer soi-même : la rivière et la rivière 2. La rivière se
construit avant le début du jeu proprement dit, donc ses carreaux ne sont pas
mélangés à ceux du jeu de base, et n'ont pas besoin d'être identiques.
Pour commencer, on peut télécharger les avers des carreaux sur le site du
jeu (chercher les liens « Der
Fluss » et « Der Fluss II »), puis imprimer les carreaux (qui sont au format
PDF, en couleur). J'ai ensuite découpé les bords blancs, puis coupé chaque
planche en deux parties (plus facile à coller). J'ai collé chaque demi-planche
sur du carton de 2 mm d'épaisseur (approximativement l'épaisseur des carreaux
originaux) avec de la colle blanche. Le truc, c'est d'encoller le carton
(plutôt que le papier) et d'étaler la colle sur toute la surface avec une
raclette (par exemple une vieille carte de téléphone), puis de coller le
papier. On évite ainsi que le papier ne gondole, et ça sèche en quelques
minutes. J'ai ensuite découpé les carreaux au cutter, pour me rendre compte que
les marques sur les avers donnent des carreaux légèrement plus grandes que les
originales, j'ai donc redécoupé les carreaux en utilisant un carreau du jeu
original comme gabarit.
J'ai aussi scanné le revers d'un carreau du jeu de base et je l'ai imprimé en
24 exemplaires pour faire un revers à mes carreaux. J'ai découpé chacun de
mes revers, puis je les ai collés un par un au dos de chaque carte, en
utilisant la même technique que ci-dessus.
Après deux tentatives ratées, la troisième fut la bonne (voire plus loin pour
l'analyse des ratages).
Ingrédients
6 œufs
240g sucre
1L lait
sucre vanillé
Préparation
Séparer les blancs des jaunes d'œufs. Les jaunes serviront à préparer une
crème anglaise, et les blancs à l'île proprement dite.
La crème anglaise
Faire bouillir le lait avec 100g de sucre et le sucre vanillé (ou avec une gousse
de vanille fendue). Mélanger les jaunes d'œufs, puis ajouter le lait chaud peu
à peu sans cesser de mélanger. Fair épaissir au bain-marie ou dans une
casserole è feu très doux. Lorsque le mélange atteint 80 °C, la crème est
prête. Si des grumeaux apparaissent, c'est qu'elle a chauffé trop longtemps,
mais il suffit de la passer au mixer pour réparer les dégats. Laisser
refroidir.
L'île
Battre les blancs en neige, ajouter 80g de sucre et terminer de les battre.
Dans un moule métallique (non-recouvert de téflon, de préférence en inox),
préparer un caramel avec 60g de sucre et juste assez d'eau pour imbiber tout
le sucre: faire chauffer (ne pas remuer après que l'ébulltion a commencé).
Lorsque le sucre a pris la couleur désirée (vers 160-170 °C), laisser
refroidir, puis ajouter quelques cuillérées à soupe d'eau. Refaire bouillir
pour dissoudre le caramel dans l'eau et obtenir un caramel fluide. Laisser
refroidir (en trempant éventuellement le fond du moule dans l'eau froide),
puis faire rouler le moule pour répandre le caramel sur l'intérieur. Remplir
alors le moule avec le blanc d'œuf cuillère à soupe après cuillère à soupe, en
évitant de toucher les bords (afin de laisser le caramel remonter au fur et à
mesure que les blancs d'œufs s'entassent dans le moule). Placer le moule
dans une marmite un peu plus grande que le moule et remplir la marmite d'eau
bouillante jusqu'à ce que le niveau de l'eau arrive à deux centimètres du haut
du moule. Placer l'ensemble au four préchauffé à 150 °C sans couvrir et
laisser cuire au bain-marie durant 45 minutes. Les blancs d'œufs vont gonfler
d'environ un tiers. Une fois cuit, sortir le moule de la marmite et laisser
refroidir.
Assemblage
Une fois l'île et la crème refroidis, plonger le moule dans l'eau bouillante
pendant trente secondes, puis démouler l'île dans le plat de service (à bords
haut, ou alors utiliser un grand saladier). Verser doucement la crème anglaise
autour de l'île, qui se mettre à flotter naturellement.
Commentaires
Pour la première expérience, ma mère a suggéré de cuire l'île dans une
cocotte minute pour gagner du temps. Grave erreur ! La cocotte cuit sous
pression, mais les bulles d'air qui forment la neige, elles, sont à pression
atmosphériques. Résultat, j'ai obtenu un gel de blanc d'œuf caramélisé et
surtout tout plat.
Lors de la deuxième expérience, j'ai suivi les conseils de Mme de
Saint-Ange, disant qu'il fallait couvrir le bain-marie. Encore raté, j'ai
obtenu le même machin que ci-dessus, le blanc d'œuf mousseux ayant tenté, sans
succès de gonfler sous le couvercle trop serré il a perdu ses bulles et s'est
totalement dégonflé.
Je n'aime pas tellement l'idée de coller des videos dans mon blog (surtout que
la pérennité de la video n'est pas assurée), mais le plieur de T-shirt en
carton, il fallait absolument que je me le garde quelque part !
Falafelit ovat kikherneistä tehtyjä kasvispyöryköitä jotka friteerataan
kiehuvassa öljyssä (180 °C). Ostin paketin jossa on jo kaikki ainekset,
tarvitaan vain lisätä vettä. Taikina oli tosi märkä eikä muotoilemani pyörykät
pysyneet pyöreinä kun ne laitoin ne leikkuulaudalle, mutta kun ne laitoin
öljyyn, kova kuori muodostui falafelin ympärille ja muoto oli lopuksi
(melkein) pyöreä. Annoin kypsyä noin viisi minuuttia.
Koska minulla oli jo kiehuvaa öljyä, kokeilin monenlaista friteerattua ruokaa:
porkkanaviipaleita (makea ja lötkö), perunaviipaleita (viipalet eivät ollet
tarpeeksi tasaisia, niistä tuli puoli ruskea ja puoli keltainen) ja kananmuna
(se kypsyi 20:ssä sekunnissa ja se oli tosi hyvää, valkuainen oli rapea,
keltuainen oli lämmin ja vielä löysä).
The battery of my four-and-a-half years old electric toothbrush had been near
its end for months. Recently it was becoming very annoying: you couldn't use
it for more than four minutes in a row (i.e., the time for two brushing
sessions) before recharging it.
I therefore decided to change the battery, as I did for my electric shaver
years ago. You are not supposed to be able to change the battery, but it is
possible to open the body and take the battery out of it for recycling. It
should therefore be possible to access it and work on it.
At the back of the stand there is a thingy that you can use to unscrew the
bottom of the body of the toothbrush.
It opens with a spring and four very
thin copper wires remain attached to the cap.
The battery is showing through the opening.
You take the core by pressing the tip of the body (where you normally put the
toothbrush) against a solid surface (floor or wall). The core then slides out
thrgouh the back.
The battery is encased in the plastic mount at the end of the core. It is
clipped in, but you can take it apart quite easily.
After that, it becomes harder: the battery case is topped with a small PCB on
which the battery is soldered from the bottom. Moreover, the PCB is attached to
the motor by two metallic fins.
With Niko's help, we tried to unsolder the battery from the PCB, removing the
excess tin with a soldering pump. It still wasn't possible to take it apart.
We then resorted to cutting the battery's legs. It then slid out quite easily.
But after that, the toothbrush would not start anymore. We then tried to apply
the battery's voltage straight to the motor (first cutting the motor off from
the PCB board), without success. We then applied 3.3V to the motor, which spun
a bit before stopping for good.
I don't know what we did wrong when unsoldering the battery (heating a nearby
diode too much? What else could have happened?), but there was no point
changing the battery if the motor is broken. I then resorted to buying a new
device.
Maintenant qu'Emma est grande, elle ne porte plus de couches. Mais elle est
devenue une véritable experte et elle est prête à expliquer au monde entier
comment on utilise les couches lavables « CuddleBuns ».
Les couches « CuddleBuns » sont garnies de nombreux boutons-pression qui
permettent de les adapter à des bébés de toutes tailles (5 à 16 kg).
Petite taille
On replie le haut de la couche vers l'extérieur. On utilisera les boutons
pression qui sont à l'intérieur.
On croise les deux rabats l'un sur l'autre.
Taille moyenne
On commence comme pour la petite taille, mais on serre moins.
Les rabats ne se croisent pas.
Grande taille
Pour un bébé plus grand, on ne replie pas le haut de la couche vers
l'extérieur, et on utilise les boutons pression qui sont montés du coté
extérieur.
Renfort intérieur amovible
Le renfort apport un supplément d'absorption. Il n'est normalement pas
nécessaire pour les tous-petits.
Le renfort se fixe par deux boutons pression. Si on utilise la petite taille,
on ne peut pas fixer le renfort à l'aide des boutons pression, il faut alors
le plier en deux et le poser au milieu de la couche.
Lundi dernier en lavant mon gaiwan (une tasse à thé chinoise, comme ci-contre)
au bureau, je l'ai laissé tomber, et il s'est évidemment cassé. Ça m'a plutôt
ennuyé, non que le gaiwan ait une quelconque valeur (il est en porcelaine
blanche toute simple), mais c'est un article probablment impossible à trouver
en Finlande, d'autant plus qu'il a une contenance de 25 cL, ce qui est plutôt
exceptionnel.
Alors je l'ai recollé (par chance, il n'était cassé qu'en quatre morceaux,
plus un tout petit). Le meilleur type de colle possible semblait être
l'epoxy (colle à deux composants), qui résiste à l'eau et à la chaleur. J'en ai
trouvé une qui résiste à 100 °C (celle que j'avais dans mon placard était
limitée à 70 °C). Le résultat est plutôt satisfaisant : il est un peu balafré,
mais il est étanche et le thé n'a pas de goût parasite.
Je me suis quand même posé la question de la toxicité du la résine epoxy une
fois sèche, et la seule information que j'aie trouvée concerne les
boites de conserve
dont l'intérieur est tapissée d'une couche de résine (au contraire des
composants séparés, dont on peut facilement trouver des informations sur la
toxicité). Le premier composant à tendance à s'échapper de la résine au
contact d'aliments gras, mais je me suis dit que pour du thé, ça devrait bien
se passer :)
I just wanted to rename a bunch of files so that the new names are numbers
like 1, 2, 3, 4… I could have written a short script doing that, but I
wanted to see if rename was able to do it. Well, this works:
(The original story is much worse: I wrote main::$i which of course did not
work, so I took a look at the rename script, and noticed that I could use a
variable which is already defined. I chose $verbose, which is initialized to
0 normally, but to 1 when the -n option is in use, hence the need to write
++$verbose when used with -n or -v and $verbose++ otherwise. Then I
wrote this story about it, and only after that I noticed my mistake…)
D'après Hervé This, l'œuf dur parfait doit être préparé comme suit:
percer le gros bout de la coquille pour que la poche d'air puisse se vider
en se dilatant plutôt que de faire craquer la coquille,
saler l'eau de cuisson pour donner du goût au blanc (le sel traverse la
coquille),
cuire à une température légèrement supérieure à 68 °C (le blanc coagule à
62 °C, le jaune à 68 °C).
Le trou dans la coquille fait effectivement son office, mais les températures
de cuisson sont contredites par l'expérience : après 35 minutes de cuisson à
70 – 72 °C (je ne peux pas faire plus précisément avec ma plaque électrique),
le jaune est cuit (ou tout du moins solidifié) alors que le blanc est encore
liquide (bien que plus épais qu'un blanc cru). En revanche, 60 minutes de
cuisson à 88 °C (erreur de manipulation, j'ai laissé le couvercle sur la
casserole et j'étais distrait) conduisent à un œuf trop cuit (le jaune est
entouré d'une pellicule verte, la coquille se détache mal).
Comment se fait-il que le jaune cuise avant le blanc ? Mon jaune était solide
mais était-il cuit ? Combien de temps faut-il laisser l'œuf dans l'eau à
72 °C ? Est-ce que 72 °C est une température suffisante ?
Hervé This suggère une mayonnaise au chocolat en remplaçant l'huile par du
chocolat fondu.
J'ai mélangé un peu de jus d'orange avec un jaune d'œuf, puis battu au fouet
électrique tout en rajoutant le chocolat fondu peu à peu (une cuillère à café
à la fois). Le résultat est suprenant : on obtient une texture de mayonnaise
avec un goût de chocolat à l'orange.
La préparation fige au froid (le beurre de cacao étant solide à température
ambiante, au contraire de l'huile qui est liquide), elle fige peut-être aussi
à température ambiante.
J'ai acheté un mélange de carraghanes (E407, gélifiant) et de farine de
caroube (E 410, épaississant). Dissous dans de l'eau froide, le mélange forme
une bouillie épaisse. Lorsqu'on chauffe à plus de 70 °C, les carraghanes
s'hydratent et on obtient une solution fluide qui gélifie en refroidissant,
formant un gel souple. Le gel redevient liquide si on le chauffe au
delà de 50 °C.
Expériences :
4g (2 à 3 c. à café) dans 500 mL de thé chaud (70 °C). Le mélange se
dissout mal, gélifie instantanément en grumeaux. Filtrer au filtre à café ne
fonctionne pas, le gel bouche les pores et le mélange refroidit plus vite
qu'il n'est filtré. Aprés un filtrage au tamis et refroidissement, on obtient
un gel de thé souple mais suffisamment solide pour être pris dans la main. Je
l'ai passé au mixer girafe, j'ai obtenu une texture étrange, comme un coulis.
Si on le laisse reposer, il reforme un gel, plus souple et moins « lisse »
qu'au départ ; un peu de liquide surnage.
2 c. à café dans 125 mL d'eau plus du « sel minéral » (moitié NaCl, moitié
KCl) donne un gel très ferme (les ions potassiums font gélifier les
carraghénanes plus fermement). Mon sel a-t-il vraiment joué un rôle, ou bien
la consistance est-elle due uniquement à la concentration en gélifiant ? La
solution a eu l'air de gélifier instantanément en surface lorsque j'y ai
saupoudré le sel. Après passage au micro-ondes, j'ai obtenu à nouveau un
liquide, qui a à nouveau gélifié en refroidissant. On peut manipuler le gel.
1 c. à café dans 250 mL d'eau froide dans laquelle j'ai délayé un demi cube
de bouillon de boeuf. J'ai fait bouillir au micro-ondes, interrompant une fois
pour mélanger à la cuillère. En refroidissant, on obtient un gel très fondant,
presque liquide.
J'ai expérimenté cette recette de gingembre confit.
Le résultat n'est pas optimal, mais qu'est-ce que c'est bon !
Ingrédients
500g de gingembre frais
800g de sucre en poudre
500mL d'eau
jus de citron
Préparation
Peler le gingembre et le découper en tranches de 5mm d'épaisseur. Découper
perpendiculairement aux fibres.
Laisser les tranches tremper dans l'eau froide additionnée de jus de citron
pendant une heure.
Égouter le gingembre et le placer dans une casserole d'eau froide additionnée
de jus de citron. Faire bouillir cinq minutes. Changer l'eau et faire bouillir
une deuxième fois, changer l'eau et refaire bouillir une troisième fois.
Égouter.
Verser le sucre et l'eau dans une casserole et faire bouillir jusqu'à
atteindre une température de 105 °C (« grand Perlé ou soufflé » ou
« nappé », 33° Baumé, densité 1,295 ou 1,2964). Verser le sirop sur le
gingembre. Couvrir et laisser reposer douze heures.
Égouter le gingembre, faire bouillir le sirop jusqu'à atteindre une
température de 105 °C (environ dix minutes) et le verser sur le gingembre.
Couvrir et laisser reposer deux jours.
Faire bouillir le sirop et le gingembre ensemble jusqu'à atteindre une
température de 105| °C (environ cinq minutes). Couvrir et laisser reposer
trois jours.
Égoutter le gingembre et le placer sur une feuille de papier sulfurisé.
Laisser sécher pendant trois jours. Mettre le sirop en bouteille et conserver
au réfrigérateur.
Commentaires
Le jus de citron empêche le gingembre d'oxyder et de noircir. J'en ai mis
dans la première eau de trempage et dans la première eau de bouillon, et il
n'a pas oxydé (le gingembre se serait-il oxydé sans citron du tout ?)
Le goût est encore assez fort. On aurait pû faire bouillir le gingembre une
fois de plus au début de la préparation, voire deux.
Le fond du sirop en bouteille au réfrigérateur a un peu cristallisé. Du citron
aurait peut-être empêché la cristalliation (quelle est la quantité nécessaire ?).
La recette originale n'est pas claire : est-il nécessaire de laisser
reposer durant trois jours après la dernière cuisson, ou bient peut-on mettre
à sécher immédiatement ? Pour vérifier, j'ai
sorti un échantillon du sirop au bout d'environ dix-huit heures (pas
immédiatement, donc). Le résultat est peut-être un peu plus tendre si on
laisse reposer trois jours ; c'est difficile à dire car la qualité des
morceaux de gingembre confit dépend de la qualité du gingembre frais et de la
position du morceau dans le rhizome (les extrémités sont plus jeunes donc plus
tendres que le reste).
Les morceaux de gingembre secs sont couvert d'une pellicule blanche de sucre
cristallisé. Comment éviter ça ? En rinçant les morceaux à l'eau avant de les
placer à sécher ?
Hervé This suggère un gâteau de chocolat comme suit:
préparer une « mayonnaise » de chocolat avec un blanc d'œuf (pas un jaune,
mais bien un blanc) et du chocolat fondu (environ 150 g) en fouettant le blanc
d'œuf et en ajoutant le chocolat peut à peu. On obtient effectivement une
émulsion similaire à une mayonnaise.
faire chauffer au micro-ondes. 90 secondes à 900 watts suffisent, un peu
moins aurait été mieux (le chocolat a une odeur que j'associe au chocolat
brûlé, obtenu en faisant fondre du chocolat à la casserole et en chauffant
trop fort).
On obtient effectivement une texture de gâteau. Lorsque le chocolat est encore
liquide, on a l'impression étrange de manger du gâteau au chocolat impregné de
chocolat fondu.
Lorsqu'on utilise des CD-R ou des DVD-R en boite cylindrique, on ne paye pas
cher le CD, mais en revanche on n'a pas de boitier pour y placer le disque.
Mais on peut facilement fabriquer une enveloppe en papier qui tient fermée
toute seule, sans colle. Ce type d'enveloppe a été utilisé les trois dernières
années durant la journée de démonstration de Linux organisé par le groupe
d'utilisateurs de Linux de Jyväskylä pour distribuer des CD de Linux aux
visiteurs. Au lieu d'une simple feuille blanche, on a utilisé une feuille
imprimée avec un logo et du texte.
Matériel
une feuille de papier A4
une règle
un crayon
Procédure
1. Placer la feuille en position portrait. Tracer deux lignes, à 4,4 cm des
bords droit et gauche de la feuille (les traits de crayon ne sont pas très
visibles sur la photo ci-contre, cliquez dessus pour un agrandissement).
2. Plier selon les lignes.
3. Tracer une ligne à 4,4 cm du bord supérieur de la feuille.
4. Plier selon la ligne.
5. Retourner la feuille et plier un coin de telle sorte que les lignes de pliures
se superposent.
6. Lorsqu'on retourne la feuille à nouveau, on obtient ceci.
7. Répéter les étapes 5 et 6 sur l'autre coin.
8. Replier les trois bords davantage, on obtient deux « oreilles ».
9. Replier le bas de la feuille de manière à ce que les coins du bas entrent dans
les oreilles. Marquer le pli.
10. On obtient ceci.
11. Insérer le disque dans la pochette.
12. Replier la pochette et glisser les coins du bas sous les « oreilles ».
13. Et voila !
La même pochette peut contenir davantage de disques, il suffit de faire des
bords moins larges que 4,4 cm et de faire une seconde pliure à quelques
millimètres de la précédente de manière à donner de l'épaisseur à la pochette
(compter 1 mm d'épaisseur par disque).
Une chose qu'on ne trouve pas en Finlande, ce sont les chips au vinaigre.
C'est pourtant très bon avec de la bière, et les Finlandais sont de gros
buveurs de bière, mais non, pas moyen de mettre la main sur des chips au
vinaigre. Tout du moins à Jyväskylä. J'avais déja tenté d'en faire moi-même il
y a quelques années de ça, mais le résultat n'était pas probant. Ce soir, ma
belle-sœur vient d'arriver de Tampere, et elle m'a rapporté… des chips au
vinaigre !
Quelques détails techniques : les Walkers contiennent
de l'acide citrique (qui existe sous forme solide à température ambiante,
au contraire de l'acide acétique, ce qui permet probablement de le saupoudrer
de la même manière que le sel) et du diacétate de sodium comme régulateur
d'acidité, en plus du sel, chlorure de potassium et glutamate de sodium.
jarchem.com indique que le
diacétate de sodium contient en fait une molécule d'acide acétique, il s'agit
donc d'un sel acide qui donne un goût de vinaigre.
Les Jonathan Crisp contiennent du sel et du vinaigre de malt, sans donner
davantage de détails.
Tout ça ne me dit toujours pas comment on peut faire soi-même des chips au
vinaigre… (parce qu'aller faire les courses de la semaine à Tampere, ça ne
me tente pas trop).
Mariner l'élan toute une nuit dans le vin rouge, accompagné de la carotte
coupée en morceaux, de la feuille de laurier, des grains de poivre et d'un
oignon dans lequel on a piqué les clous de girofle.
Filtrer la marinade, sécher les morceaux d'élan et les faire revenir
rapidement dans une cocotte avec un peu d'huile. Ajouter la marinade filtrée,
la carotte coupée en morceaux, la feuille de laurier, un oignon coupé en dés
et le bouillon de boeuf émietté. Faire mijoter à feu doux pendant une bonne
heure.
Sortir les morceaux d'élan, lier la sauce au beurre manié (25 g de beurre
pour 20 g de farine) et replacer la viande dans la sauce.
This is a generic recipe for Tiramisu. You can use anything you like as the
bottom layer of the cake, and put the following preparation on top of it. The
traditional bottom layer is made of biscuit (“sponge fingers”) slightly
soaked in coffee and Amaretto, but it can also be replaced with fruits
(strawberries, cherries, bilberries (or blueberries)…)
Separate the egg yolks from the whites. Mix the yolks with the sugar and the
vanilla sugar until the preparation turns almost white. Then add the
Mascarpone and mix until you get a smooth cream.
Whip the egg whites into a firm foam and incorportate the foam delicately to
the cream.
Pour the mix over the bottom layer of your Tiramisu and put it into the
refrigerator for a least 4 hours. You can optionnaly sprinkle it with bitter
cocoa just before serving.
La purée, c'est tellement simple qu'on ne peut pas la rater. Et pourtant, il
parait qu'il y a des gens qui n'y arrivent pas. Alors voici comment ne pas
rater sa purée.
Faire bouillir les pommes de terre et les réduire en purée (presse-purée ou
moulin à légumes, peu importe, l'essentiel est d'avoir une masse homogène de
chair de pomme de terre). Placer la préparation dans une casserole sur feu
moyen et faire chauffer quelques instants en remuant.
Ajouter ensuite le beurre coupé en cubes de 2 à 3cm de coté, quelques cubes à
la fois en remuant bien. N'ajouter les cubes suivants que lorsque les
précédents ont complètement fondu et ont été incorporés à la pomme de terre.
La quantité de beurre peut varier selon les goûts : Rebuchon préconise 250g de
beurre par kilogramme de pommes de terre, ma femme trouve que « 150g c'est
déjà assez gras comme ça ». La préparation doit former une boule homogène,
souple et luisante qui se détache facilement des parois de la casserole (du
moins avec une casserole en téflon).
Une fois que tout le beurre a été incorporé, ajouter le lait peu à peu : 5cL à
la fois, voire moins. La préparation devient plus épaisse lorsqu'on commence à
ajouter le lait, et redevient plus souple par la suite. Tout comme pour
l'incorportation du beurre, le lait doit être entièrement absorbé dans la
préparation avant de pouvoir en rajouter. Rebuchon préconise 1 à 2dL de lait
bouillant, mais ça fonctionne tout aussi bien avec du lait qui sort du
réfrigérateur. L'important est de l'ajouter peu à peu et de bien mélanger
entre chaque ajout. Ajouter le lait peu à peu permet aussi de contrôler la
consistance finale de la purée : on arrête d'ajouter du lait lorsque la
préparation atteint la consistance voulue.
Got my first spam comment today. Those bastards are fast, the blog's been up
only one and a half month and I have less than ten visitors a day (search
engines included)…
J'ai eu mon premier spam aujourd'hui. Ces enfoirés sont rapides, le blog
n'existe que depuis un mois et demi et j'ai moins de dix visiteurs par jour
(en comptant les moteurs de recherche)…
Sain minun ensimmäisen spamin tänään. Ne paskiaiset ovat nopeita, blogi on
ollut olemassa vain puolitoista kuukautta ja minulla on alle kymmenen kävijää
päivässä (sisältää hakukoneet)…
De nombreuses personnes sont arrivées sur ce blog en cherchant « comment
éplucher des noisettes » dans Google, en particulier des canadiens (bien le
bonjour aux francophones d'outre-Atlantique, au passage). Comme il semble
qu'il n'existe pas beaucoup de resources sur le Web expliquant comment on
épluche les noisettes, voici ma méthode (qui vient pourtant du Web, mais ne me
demandez pas d'où exactement).
Griller les noisettes à sec dans une casserole (de préférence pas en Téflon,
ce dernier n'appréciant pas de se faire trop chauffer) en ne les laissant
surtout pas brûler (ça va très très vite, croyez-moi). Ma source sur le Web
préconisait de passer les noisettes au grill, mais comme mon four n'a pas de
grill, je me suis débrouillé autrement. Je touille alors les noisettes
rapidement et continuellement pour ne pas qu'elles brûlent et pour que toute
la surface de la noisette soit chauffée. Une partie de la peau va se détacher
et brûler au fond de la casserole. Verser alors les noisettes sur une
assiette ou un plat pour les laisser refroidire. Ma source sur le web disait
de frotter les noisettes dans un chiffon rugueux, mais ce n'est pas très
pratique (ou alors je ne suis pas doué). Je prends plutôt les noisettes entre
les doigts une par une pour détacher la peau (qui a maintenant la consistance
du papier brûlé, très friable). On arrive à peler facilement les deux tiers
des noisettes. Le tiers restant est soit mal grillé soit récalcitrant, et la
seule solution que j'ai trouvée c'est de peler la peau avec les ongles ou avec
un petit couteau (mais ça prend beaucoup de temps).
Un peu d'expérimentation est nécessaire pour trouver le juste degré de
grillade des noisettes et la vitesse à laquelle on touille (si on touille trop
vite, la peau ne chauffera pas assez longtemps pour devenir friable, si on
touille trop lentement, c'est la noisette qui commence à brûler).
Si vous trouvez une méthode plus efficace, faites-m'en part !
I just bought ginger stems in syrup. These are great! You can eat them just
like candies, they have the texture of of a fruit jelly, the taste of ginger,
but without the awfully hot taste of fresh ginger (just try chewing a piece of
raw ginger if you don't know what I mean). It's still a bit hot, but it's
reasonnable.
La plupart des images du blog viennent du Web. J'ai fait des copies locales de
ces images, qui servent à leur tour de liens vers les sites d'origine. La
provenance de l'image est indiquée sous celle-ci.
Most pictures of the blog come from the Web. I made local copies of them,
which in turn act as links to the originating website. The name of the source
is printed below the picture.
Suurin osa blogin kuvista on peräisin muualta webistä. Olen tehnyt kuvista
paikalliset kopiot, ja kuva toimii linkkinä alkuperäiselle sivustolle. Kuvan
alla mainitaan sen lähde.
« Thé vert de Chine rond, délicat et parfumé, ce thé
développe les mêmes notes sylvestres que le Gu Zhang Mao Jian, mais ici sans
aucune astringence. »
Infusé dans un verre à 70 °C. Plutôt doux, il me rappelle vaguement le lin
yun (pas sûr, ça fait bien longtemps que j'ai terminé celui-là) ou le long
jing (je n'en ai jamais bu plus de quelques tasses), mais sans ce goût amer
qui apparaît rapidement lorsque l'infusion se prolonge.
“I talked about my desire to promote institutional change in parts of the
world like Iraq where there's a free press and free religion. I told [Putin] a
lot of people in our country… would hope that Russia would do the same
thing.”
Putin replied, smiling:
“I'll be honest with you: we, of course, would not
want to have a democracy like in Iraq.”
On n'arrête pas le progrès : maintenant, on fait de la moutarde au pastis.
Elle n'est pas mauvaise, d'ailleurs, elle est assez douce, avec un petit goût
anisé, et contient 5,4% d'alcool…
J'ai essayé hier soir de mélanger du Choco Noursy avec de la Chartreuse 1605,
et le résultat était terrible ; probablement la noisette qui se marie mal
avec la Chartreuse. Ne surtout jamais réessayer.
I just watched the four first episodes yesterday, subtitled in Finnish. It was
pretty easy to understand, but then again, the story is not of the difficult
kind: a guy moves in as the janitor of a home for young girls, pretending to
be a student (whereas he already failed twice the test for entering the
university of Tokio). At the same time, he remembers that when he was a small
boy he made a promise to his sweetheart to meet again at the university of
Tokio. He didn't remember the name of the girl, though but surprise, surprise!
she's one of the girls living the the home.
Nice to watch because it's so easy to follow, but it really looks like as
series for post-teen geek boys who fantasize on finding a girlfriend but have
no clue as how to do it.
Cowboy Bebop is about a bounty hunter roaming the solar system. I watched a
couple of episodes, and until now, the hero does not seem to be very efficient
in his job, since he did not catch his preys (they didn't escape though, the
first one got shot by his girlfriend, and the second crashed on the parking
lot of the police station). The series is quite violent but probably no more
than your average action TV series (big guns shooting all over the place, fast
vehicles crashing, this kind of things). One good thing is that the characters
do not make stupid faces when they are feeling emotions, on the contrary to
most of the previous japanimation series I've watched. That's a definite good
point for the series. Also, the episodes seem to be quite independent from
each other, there is no long-running story to keep the viewers hooked (maybe
this would develop in later episodes?)
Probably the series I enjoyed the most among the ones I recently discovered:
it's not all about feelings and relationships between people, but on the other
hand, the stories don't fly very high either, which is one drawback of the
format (you can't put much in a 20 minutes show meant to be a complete story).
One more anime series, again quite different from the others. Gravitation is
about a rock band trying to become famous, and the lead singer of which falls
in love with a famous love-stories writer. The main character is
impredictible (some would say “crazy”), and the story is therefore full of
surprises. This makes the series watchable even if romance is not my cup of tea.
Another series of which I watched the four first episodes last evening,
subtitled in Finnish as well. Much more difficult to understand than Love
Hina, this series is more about the description of weird characters. The
story goes like this: an orphan girl lives in a house with three mysterious
boys. The boys have been victim of a curse of some kind, because when touched
by a girl, they they turn into animals: a rat, a dog and a cat. The problem is
that the cat is not part of the Chinese Zodiac, and it makes the character
very angry because he feels inferior to the rat. Then appears a girl who is
madly in love with the cat-guy (“madly” is the right word, because she
annoyingly keeps on beating him up) and who turns into a wild pig when touched
by a man.
This series is about the hero discovering hidden aspects of the various
characters and the characters being able to overcome their fear of being
touched by other people. I think.